Femen, le visage de la haine |
Le Parisien : Une militante Femen avait été arrêtée le 25 décembre alors qu'elle tentait de s'emparer de la statuette de l'enfant-Jésus, installée sur la crèche de la Place Saint-Pierre, au Vatican. Elle ne sera finalement pas jugée par le Vatican. Les autorités du Saint-Siège ont ordonné, samedi, sa libération.NDLR : Les Femen s'autorisent des provocations dans nos pays plus démocratiques que leur pays d'origine, l'Ukraine (que les USA (de quoi je me mêle) et l'UE tentent de faire entrer au sein de l'usine à gaz européenne, d'où les tensions que l'on connaît dans cette partie de l'Europe).
En revanche, ces femmes, privées de libertés dans leur pays, viennent mettre le désordre dans nos contrées en s'attaquant surtout à la religion la plus tolérante, elles ne sont pas folles, juste instrumentalisées par de forts lobbys...
L'Ukraine aurait besoin des Femen si elles veulent s'impliquer dans la vie politique, il y a tant à faire là bas... elles se trompent donc de combat, on a envie de leur dire : "partez mener de vrais combats !".
La logique voudrait qu'elles soient interdites de territoire dans tous les pays où elles sèment la zizanie. Le siège des Femen, bizarrement, est en France, à Paris. Une coïncidence aussi, si le gouvernement socialiste ne demande pas à ce que groupuscule soit dissous... car ils sert ses intérêts...
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Elle ne sera finalement pas jugée par le Vatican. Les autorités du Saint-Siège ont ordonné, samedi, la libération de la Femen qui avait tenté jeudi de dérober la statuette de l'enfant Jésus sur la place Saint-Pierre.
Originaire d'Ukraine, Iana Aleksandrovna Azhdanova avait été arrêtée jeudi et incarcérée à la Gendarmerie vaticane, après s'être emparée de la statuette, avec écrit au feutre noir sur ses seins nus «God is woman» (Dieu est une femme).