Dans Le Suicide français, Éric Zemmour tirait déjà le signal
d’alarme. Il y a plus d’un an, il agitait le spectre de la guerre
civile sans pour autant nommer les communautés potentiellement
concernées, sans doute pour se préserver d’une nouvelle terreur
médiatique. Terreur médiatique qui s’abattra à coup sûr sur Ivan
Rioufol. Tous les qualificatifs seront les bons, de « raciste primaire »
à « catholique zombie ». L’objet du délit ? La guerre civile qui vient, son dernier livre paru chez Pierre-Guillaume de Roux, qui met les pieds dans le plat : « Une
guerre civile s’avance à pas de loup. Celle qui oppose déjà l’idéologie
coranique conquérante aux démocraties occidentales fatiguées. » La raison est simple, « l’armée de l’ombre existe ». Cette armée qui « compte
en France des milliers de guerriers bénéficie de la passivité des
cités, de la myopie du pouvoir, de la collaboration des premiers
traîtres. Les huit cents “zones sensibles”, les cent cinquante mosquées
salafistes, les écoles coraniques, les Frères musulmans sont autant de
foyers d’incubation. »
Comment en est-on arrivé là ? Un peu de haine de soi, de bien-pensance et quelques cachets de Pasdamalgam ont fait quelques dégâts. Bienvenue dans la religion laïque humanitaire universelle, celle pour qui l’Autre est une chance pour la France, mon prochain ou mon frère en humanité – c’est selon. Celle qui aime le monde entier, mais surtout les migrants. Celle du genre humain, celle des No Border. La nation, ce fléau.
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Comment en est-on arrivé là ? Un peu de haine de soi, de bien-pensance et quelques cachets de Pasdamalgam ont fait quelques dégâts. Bienvenue dans la religion laïque humanitaire universelle, celle pour qui l’Autre est une chance pour la France, mon prochain ou mon frère en humanité – c’est selon. Celle qui aime le monde entier, mais surtout les migrants. Celle du genre humain, celle des No Border. La nation, ce fléau.