Au lendemain de l'annonce de la mort de David "Daoud" Drugeon - jeune djihadiste français du groupe Khorassan, vraisemblablement tué dans l'attaque menée par un drone américain en Syrie - sa mère s'est confiée devant les caméras d'iTELE.
Les conversions à l'islam font de plus en plus de dégâts, un mal français tabou.
La naïveté des chrétiens, y compris des athées élevés dans la même tolérance et respect de l'Autre, commence à faire des ravages.
Comment peut-on laisser son enfant de 13 ans se convertir à l'islam, en connaissant toutes les dérives qui en découlent ?
Si l'on éprouve de la compassion pour le père "dépassé", l'exemple du jeune David Drugeon doit absolument marquer les esprits afin de faire stopper ces conversions qui finissent mal.
Aux parents et amis de veiller sur ces personnes qui se mettent en danger par la violence d'un islam utilisé par et sur des "âmes perdues", en mal de repères...
S'alarmer sur ces jeunes et moins jeunes partis faire le jihad n'est en rien "islamophobe". Ce sont deux cultures qui se rencontrent et dégénèrent car trop différentes.
Le fait de ne pas vouloir froisser la communauté musulmane en ne mettant pas des mots sur des maux amène à ce gâchis tellement prévisible...
Un breton converti à l’islam à l’âge de 13 ans
David «Daoud» Drugeon «a été baptisé, il avait reçu une éducation européenne, avec des parents qui ont la foi chrétienne», a raconté ce jeudi son père, Patrice Drugeon, un chauffeur de bus de l'agglomération de Vannes. La conversion de David à l’islam n’est toutefois pas une histoire récente: il s'est converti très jeune, a-t-il expliqué: «13 ans, vous imaginez? On était en divorce avec sa maman, mais j'avais de bonnes relations avec David et son frère aussi, il n'y avait pas de problème. Je l'ai vu se convertir, mais il était modéré», a expliqué jeudi son père. Lire la suite sur 20 Minutes
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