Problème : cet amendement a été adopté au Sénat après une présentation biaisée, voire malhonnête, du ministre : celui-ci a expliqué que "cette possibilité [de déréférencement, NDLR] était déjà prévue" par la loi sur les jeux en ligne. Pas de quoi s'émouvoir, donc ? Eh bien si, car pour déréférencer un site de paris en ligne illégal, l'autorité ad hoc (l'Arjel) doit impérativement passer par la case justice, qui agit alors en référé (en urgence). La mesure prévue dans la nouvelle loi antiterroriste n'a rien à voir, puisqu'elle donne le pouvoir de censure à l'administration, qui contacte directement le moteur de recherche. Le passage en force est réussi pour Bernard Cazeneuve. >>> Lire la suite sur le site du Point
Et on comme ce gouvernement n'est plus à une incohérence près :
Ce n'est pas un délit de de prôner le Djihad selon Cazeneuve qu'en pensez vous ? pic.twitter.com/s0fIsYCbbC
— ANGELO (@hugoengel4) 26 Octobre 2014
Sur le sujet : Jihadistes français : Un projet de loi écrit sur un coin de table...