Chiffres de la délinquance et municipales de mars prochain : Marine Le Pen, présidente du Front national, était l'invitée, jeudi matin de BFMTV et RMC.
"Les chiffres de la délinquance sont un échec pour Manuel Valls.
Que voulez-vous, on ne peut pas tout faire, aller soutenir les
candidats socialistes contre le FN et faire baisser la délinquance", a fustigé Marine Le Pen, interrogée sur les chiffres de la délinquance pour l'année 2013.L'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP) a révélé, jeudi matin, que le nombre de cambriolages, de résidences secondaires notamment, et de vols a continué d'augmenter en France en 2013 comme en 2012, celui des homicides variant selon les endroits.
"Avec l'ouverture des frontières", "des mafias et réseaux criminels" se sont installés en France, a commenté la présidente du Front national.
Le ministre de l'Intérieur Manuel Valls a prévu de se rendre samedi à Hénin-Beaumont, où le FN compte faire un de ses meilleurs scores aux municipales.
Un homme "sans morale"
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"Nous allons présenter 500 listes aux prochaines municipales", a également précisé Marine Le Pen, avant d'asséner: "Suivez Manuel Valls et vous verrez quelles villes nous allons gagner".
Le ministre de l'Intérieur a prévu de se rendre dimanche à Hénin-Beaumont, où le Front National compte faire un de ses meilleurs scores aux municipales.
"Cet homme est sans limite, sans morale. On attendait d'un ministre de l'impartialité. Mais cet homme va utiliser, ce week-end, les moyens de son ministère", pour faire campagne contre le FN, a encore enragé Marine Le Pen.
Rappelant l'affaire Dieudonné, la leader frontiste a également estimé que Manuel Valls voulait "limiter la liberté sur Internet et Twitter".
RMC
Le ministre de l'Intérieur a prévu de se rendre dimanche à Hénin-Beaumont, où le Front National compte faire un de ses meilleurs scores aux municipales.
"Cet homme est sans limite, sans morale. On attendait d'un ministre de l'impartialité. Mais cet homme va utiliser, ce week-end, les moyens de son ministère", pour faire campagne contre le FN, a encore enragé Marine Le Pen.
Rappelant l'affaire Dieudonné, la leader frontiste a également estimé que Manuel Valls voulait "limiter la liberté sur Internet et Twitter".
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