A quoi joue l'Insee quand il enquête sur l'immigration au chômage ("victime" collatérale de la crise) ?

Si les descendants d'immigrés d'Afrique ont du mal à trouver du travail, c'est principalement qu'ils sont 2 fois plus nombreux que les Français « de souche » à sortir de l'école sans diplôme. Ils ne sont pas moins bons en math ou en géographie, mais ils grandissent dans des familles populaires. Et on le sait depuis longtemps, pour de nombreuses raisons, les chances de réussir à l'école sont moins élevés quand on est fils ou fille d'ouvrier. L'origine sociale et le niveau de diplôme sont des facteurs récurrents dans le constat que dresse l’Insee mais il faut aussi compter sur le lieu de résidence qui explique lui aussi en grande partie pourquoi les descendants d'immigrés sont à la peine sur le marché de l'emploi. Reste une « part inexpliquée », rapporte l’étude. Inexpliqué car il s'agit de phénomènes difficiles à mesurer. Sans parler de racisme, parmi ces autres freins à l'ascenseur social : les discriminations et le manque de réseau social. rmc.fr

Rectificatif : les Français « de souche sont aussi les Français issus de l'ancienne immigration européenne, c'est ENCORE pointer du doigt une "méchante" communauté qui n'aurait que les bonnes places.

Sur RMC, Jean-Jacques Bourdin analyse ce rapport avec Pascale Breuil (INSEE). Cette dernière semble gênée d’admettre que l’étude prend également en compte les immigrés clandestins.

« Vous savez, le nombre d’immigrés irréguliers en France est forcément une toute petite partie de ces 5 millions de personnes. L’ordre de grandeur ne peut pas être modifié par les irréguliers. » – Pascale Breuil à écouter ICI

A cas où l'INSEE l'aurait oublié, il y a une forte crise en France où des emplois tombent tous les jours. Alors, excusez ces "méchants" Français préférant privilégier les leurs... les pays dont sont issus ces immigrés et cette nouvelle immigration naturalisée pratiquant sans vergogne la priorité nationale.

En ce qui concerne les diplômes, le niveau social, le blocage vient du fait que la langue française n'est pas maîtrisée même par les enfants nés en France, ce qui amènerait d'autres débats.
Tant que la culture et la langue françaises ne seront pas partagées, transmises y compris par les parents, il y aura ces différences de traitement.
Pas facile d'embaucher une femme en niqab (voile intégral) ou avec un simple voile sur les cheveux ou un homme en djéllaba, ou encore une femme en boubou ou un homme avec les vêtements traditionnels, se marginalisant eux-mêmes par leurs revendications religieuses et provocations ou inculture de nos us et coutumes.
D'aucuns auront sûrement remarqué que les personnes qui ne se sont pas adaptées à la France restent sur le carreau.
Français de souche ou non, employeurs, salariés, la culpabilité, ce n'est pas pour maintenant, laissez tomber, les victimes collatérales ne sont victimes que d'elles-mêmes, de leur famille, la crise ajoutant un plus grand fossé.
Le combat pour s'en sortir, beaucoup d'immigrés naturalisés ou non le connaissent, la victimisation ne sert qu'à les enfoncer dans la médiocrité. La balle est dans leur camp.
De plus une immigration non contrôlée implique ces dérives, adressez-vous aux gouvernements successifs et le présents, les Français de "souche"n'y étant pour rien dans le marasme économique. Il y a des incompétents utopiques et avides, c'est vous qui les avez élus, pas nous !

Humainement et économiquement,  la France n'a plus les capacités de former une nouvelle immigration naturalisée qui, de plus, dès l'enfance, est endoctrinée pour refuser cette mutation. 

Bref, une enquête de l'INSEE digne des associations antiracistes ; qui a demandé cette enquête, d'ailleurs ?  

Sur le sujet :  Communiqué de Presse de Nicolas Bay, Membre du Bureau politique, Conseiller en charge des questions d’immigration :  Rapport de l’INSEE : la discrimination sociale est la seule discrimination qui existe véritablement en France !