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11 avril 2013

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 Hollande, Valls, Taubira… Le président de la République, le ministre de l'Intérieur et le garde des Sceaux pouvaient-ils ignorer la réalité du dossier Cahuzac ? 

15 décembre 2012
Mediapart a publié depuis déjà dix jours le contenu d'un message téléphonique où une voix, présentée comme celle de Jérôme Cahuzac, évoque un compte en Suisse. Et l'Élysée entre dans la danse. Mi-décembre, en effet, l'avocat Michel Gonelle, adversaire politique de Cahuzac aux municipales de 2001 et destinataire involontaire du message où son rival s'est trahi, appelle le directeur de cabinet adjoint de la présidence, le préfet Claude Zabulon, qu'il connaît depuis des années, pour lui confirmer les informations publiées sur le site d'Edwy Plenel.
De 1997 à 1999, Alain Zabulon a été sous-préfet de Villeneuve-sur-Lot, la ville de Gonelle et Cahuzac… Il écoute attentivement son interlocuteur et produit un compte rendu au secrétaire général de l'Élysée, le préfet Pierre-René Lemas, qui en informe aussitôt le chef de l'État, François Hollande. «Manuel Valls passe son temps à démentir qu'il ait pu alerter l'Élysée sur le sérieux de l'affaire par une note en décembre et il a raison, puisque c'est la présidence de la République qui fut informée la première, du fait des liens privilégiés entre Zabulon et Gonelle. La note originelle ne vient pas de Beauvau mais bien du Château», confie un homme du sérail. Lire la suite >>> sur lefigaro.fr
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