Après la littérature, l’action concrète. Déjà auteure de deux ouvrages qui
dénonçaient une inexorable et dangereuse poussée islamiste dans un
Occident jugé trop bien-pensant pour s’en alarmer, la Genevoise Mireille
Vallette passe à la vitesse supérieure. Elle lance aujourd’hui
l’Association Suisse Vigilance Islam (ASVI), une plateforme de «défense
de la démocratie suisse face à l’expansion de l’islam.» Dont elle sera
la présidente et la porte-parole.
Journaliste, socialiste (jusqu’en 2012) et féministe (depuis toujours), Mireille Vallette est très claire sur ses intentions: «Après avoir dit, il s’agit désormais de faire». C’est-à-dire de «défendre nos valeurs et notre civilisation, menacées par une religion totalitaire.» Dès le mois de juillet, Vigilance Islam et sa future plateforme internet promettent d’informer sur «la réalité de l’islamisation de notre pays, les dangers pour la démocratie qu’entraîne une telle évolution et les démissions et abandons de nos élites face à l’islamisation.» L’association ira plus loin: elle entend lancer des pétitions, des initiatives, référendums et autres manifestations pour plaider sa cause, voire engager des procédures judiciaires le cas échéant.
Vigilance Islam l’écrit noir sur blanc dans sa charte fondatrice: «L’expansion de l’islam constitue la menace la plus grave qui pèse aujourd’hui sur la démocratie et la liberté dans notre pays.» Islam ou islamisme? Au diable les nuances, répond Mireille Vallette: «Nous nous refusons à faire la distinction. L’islam, comme l’islamisme, se réfèrent tous deux au Coran et aux hadiths, lesquels véhiculent une idéologie politico-religieuse totalitaire qui n’admet pas l’égalité des êtres humains ni leur droit à l’autonomie».
Le message ne souffre aucune ambiguïté: «J’ai lu tout le Coran et le problème est dans les textes, martèle la pasionaria islamophobe, au sens strict. Je n’aime pas cette religion, qui porte en elle des choses inacceptables. Tous ceux qui sont incrédules sont condamnés à l’enfer. Les textes ne sont pas remis en question, et le risque que le littéralisme reprenne le dessus est permanent, y compris dans les pays qui se sont éloignés de la charia. Il en sera ainsi tant que les musulmans ne seront pas capables d’admettre qu’il faut oublier des pans entiers du Coran.»
Journaliste, socialiste (jusqu’en 2012) et féministe (depuis toujours), Mireille Vallette est très claire sur ses intentions: «Après avoir dit, il s’agit désormais de faire». C’est-à-dire de «défendre nos valeurs et notre civilisation, menacées par une religion totalitaire.» Dès le mois de juillet, Vigilance Islam et sa future plateforme internet promettent d’informer sur «la réalité de l’islamisation de notre pays, les dangers pour la démocratie qu’entraîne une telle évolution et les démissions et abandons de nos élites face à l’islamisation.» L’association ira plus loin: elle entend lancer des pétitions, des initiatives, référendums et autres manifestations pour plaider sa cause, voire engager des procédures judiciaires le cas échéant.
Vigilance Islam l’écrit noir sur blanc dans sa charte fondatrice: «L’expansion de l’islam constitue la menace la plus grave qui pèse aujourd’hui sur la démocratie et la liberté dans notre pays.» Islam ou islamisme? Au diable les nuances, répond Mireille Vallette: «Nous nous refusons à faire la distinction. L’islam, comme l’islamisme, se réfèrent tous deux au Coran et aux hadiths, lesquels véhiculent une idéologie politico-religieuse totalitaire qui n’admet pas l’égalité des êtres humains ni leur droit à l’autonomie».
Le message ne souffre aucune ambiguïté: «J’ai lu tout le Coran et le problème est dans les textes, martèle la pasionaria islamophobe, au sens strict. Je n’aime pas cette religion, qui porte en elle des choses inacceptables. Tous ceux qui sont incrédules sont condamnés à l’enfer. Les textes ne sont pas remis en question, et le risque que le littéralisme reprenne le dessus est permanent, y compris dans les pays qui se sont éloignés de la charia. Il en sera ainsi tant que les musulmans ne seront pas capables d’admettre qu’il faut oublier des pans entiers du Coran.»