Renaud Camus:
La Remigration ou la guerre
Une des allocutions les plus intéressantes, aux Assises de
la Remigration, fut la dernière, celle de l’hôte, Fabrice Robert, le
président du Bloc identitaire. >>> Lire la suite
Discours de Fabrice Robert lors des Assises sur la remigration du 15 novembre à Paris.Mesdames, Messieurs,
Les guerres politiques sont des guerres idéologiques et les guerres idéologiques sont des guerres conceptuelles et sémantiques. Les mots sont des armes, certes, mais les mots sans concepts sont des armes chargées à blanc.
Le colloque que nous tenons aujourd'hui vise à n'être ni plus ni moins que les fondations de l'arsenal dont la France et l'Europe ont besoin pour prendre l'offensive dans cette guerre politique, idéologique et conceptuelle qui nous est faite et que, depuis plusieurs décennies, nous subissons. Il s'agit d'armes de légitime défense, non létales, comme l'on dit dans le jargon administratif. J'insiste sur ce double point :
Premièrement, la remigration n'est pas un concept agressif, c'est, au contraire, un concept de protection utile à tous.
Secondement, la remigration est une arme de paix, de concorde, qui, si elle n'est pas utilisée, laissera place à des situations que, par commodité on appellera à la libanaise, et là, dans ce cas, ce sont hélas d'autres armes, de vraies, qui auront le champ libre. Disant cela, nous ne proférons aucune menace, nous constatons seulement que la guerre d'intensité modérée que nous subissons actuellement changera d'ampleur et de nature si, d'aventure, la remigration n'était pas transférée du domaine conceptuel au domaine pratique.
Ne nous lassons jamais à l'avenir de le répéter : remigrer, c’est la paix pour chacun. L'immigration, c'est la guerre pour tous.
Une fois ceci posé, comment mettre en place cette remigration ? >>> Lire la suite
Mon discours aux Assises de la #remigration http://t.co/tXAM1inJkj pic.twitter.com/foU0iT2KOo
— Fabrice Robert (@_fabricerobert) 17 Novembre 2014
Sur le sujet : Assises remigration-Renaud Camus: ll semblerait que le FN ne veuille pas entendre parler du Grand Remplacement