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26 septembre 2014

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Vue du village d'Ait-Daoud sur une partie du Djurdjura
 "Quels liens unissaient les compagnons de marche d’Hervé Gourdel et ses ravisseurs ?" C'est la question qui se pose malgré le battage médiatique autour de "l'islamophobie" et "l'amalgame" dont les musulmans seraient victimes.
Si on peut constater que beaucoup vivent leur foi tranquillement, on ne peut pas oublier que des milliers de morts l'ont été au nom de l'islam. La décapitation d'Hervé Gourdel doit être l'occasion de compartimenter le Coran par la désignation, par les musulmans, des sectes radicales en les rejetant publiquement. Ce serait une révolution culturelle dont ils s'honoreraient, toutes les religions ayant leurs intégristes.

Vidéo ajoutée le 25 sept. 2014 Deux jours après la mort d’Hervé Gourdel, l’enquête se poursuit. Jeudi, cinq personnes ont été placées en garde à vue par l’armée algérienne. Selon notre correspondant à Alger, Khaled Drareni, qui cite des sources militaires, cette dernière estime qu’il est impossible qu’Hervé Gourdel soit venu dans le Djurdjura sans qu’il y ait complicité. L’un de ses accompagnateurs pourrait l’avoir piégé et l'avoir amené sciemment dans les montagnes de Kabylie.

 "Quels liens unissaient les compagnons de marche d’Hervé Gourdel et ses ravisseurs ?"
Des zones d'ombre entourent l'affaire de l'otage français en Algérie, décapité par ses ravisseurs. Plusieurs questions intriguent les enquêteurs sur place. D'abord, la relation entre Hervé Gourdel et les amis algériens qui l'ont invité dans une zone réputée dangereuse pour les étrangers.
Les cinq accompagnateurs du touriste niçois sont originaires de villes différentes : trois de Bouira et les deux autres, dont un adolescent de 17 ans, sont de Blida, près d'Alger. « Ils se sont connus sur Facebook », affirme le site arabophone Alhadath-dz.com, qui a révélé la prise d'otage lundi dernier. (...)
« Les accompagnateurs ont entraîné le touriste dans un endroit dangereux où, la veille, des randonneurs avaient été maltraités par des terroristes. En plus, les ravisseurs ont pris le Français, mais ont relâché les Algériens, sans confisquer ni leur véhicule ni leurs téléphones portables. Ce n'est pas dans leurs habitudes », explique une source sécuritaire.
 Deux vidéos intriguent(...)
Outre l'éventuelle implication des amis du touriste français et les conditions de délivrance du visa, un autre élément pose question : la diffusion de deux vidéos par les ravisseurs. La première pour revendiquer le rapt, la seconde pour annoncer la décapitation, suscitent des interrogations sur l'efficacité des opérations de recherche lancées par l'armée. Les ravisseurs ont pu les diffuser depuis une zone montagneuse bouclée par l'armée, sans être repérés par les services algériens… Lire l'intégralité de l'article sur Sud-Ouest.fr
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