Dans son rapport rendu public mercredi 23
avril, Amnesty International dénonce l’absence de protection des
employées de maison migrantes victimes d’exploitation, notamment de
travail forcé et de violences physiques et sexuelles.
Intitulé “My sleep is my break”: Exploitation of domestic workers in Qatar,
ce rapport dépeint un sombre tableau de la situation des femmes qui
sont recrutées pour travailler au Qatar sur la base de fausses promesses
quant à leurs salaires et à leurs conditions de travail. Elles se
retrouvent à trimer de très nombreuses heures, sept jours sur sept et
certaines femmes endurent des violences. A lire sur >>> Amnesty.fr Adressez-vous au Premier ministre et ministre de l’Intérieur pour améliorer le sort des travailleurs migrants au Qatar Signez