La présidente du Front National juge que l'exécutif ferait mieux d'aller "au chevet des PME et des TPE".
L'opération séduction de Hollande envers les patrons étrangers ? Très peu pour Marine Le Pen. "C'est de la com', a-t-elle jugé lundi 17 février sur le plateau des "4 vérités", sur France 2. Comme d'habitude, on va au chevet des grandes multinationales. Or j'aimerais que le gouvernement aille au chevet des PME et des TPE, car ce sont elles qui représentent la majorité des entreprises françaises."
Si elle reconnaît que les investisseurs étrangers peuvent aider ces petites structures, elle juge que la France sera bien incapable de les attirer tant qu'elle utilisera l'euro. Selon la présidente du Front national, il "est 20% trop cher, ce qui nous fait exporter des produits 20% trop chers". "Tant que l'on n'aura pas touché à la monnaie, on ne résoudra pas le problème", juge-t-elle.
Et de dénoncer "l'inconsistance fiscale". "On change les règles en permanence. Or, les entreprises comme les ménages ont besoin de se projeter dans le temps." Francetvinfo
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Quand Marine Le Pen détruit les approximations, les préjugés, les
clichés, parfois les mensonges des journalistes et/ou contradicteurs
militants, cela donne une interview de haut niveau pour la présidente du
Front National qui renvoie ses interlocuteurs à leurs chères études
(sic)...
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