Il aurait été intéressant de faire
la comparaison avec d'autres pays en crise comme la Grèce, le
Portugal ou l'Italie mais l'Espagne, dont il est question, est le
deuxième ou troisième pays (selon les humeurs des déclarants) le
plus visité au monde (avant ou après la France, peu importe...) ;
l'essentiel est de faire le constat sans appel de la sécurité et de
la tranquillité qui règnent dans ce pays pour les habitants et les
touristes.
En Espagne, 26,26 %
de la population active est au chômage avec une
petite embellie depuis les six derniers mois.
La culture de l'excuse du chômage de nos jeunes barbares français ne tient donc pas la route. Démonstration :
La culture de l'excuse du chômage de nos jeunes barbares français ne tient donc pas la route. Démonstration :
Très
accueillants, les Espagnols gardent leurs traditions, sortent
beaucoup, aiment faire la fête, boire et manger alors que les
Français s'enferment chez eux dès la nuit tombée, menant une vie
austère, évitant ainsi le risque de se faire agresser ; ils
« s'endorment », barricadés dans leur tour (non faite
d'ivoire) ou dans leur maison, laissant les nouveaux venus envahir
leurs rues et semer le désordre.
Si les
Espagnols souffrent, ils le font dans la dignité et sans sauvagerie
: point de règlements de comptes à
la Kalach, point de détrousseurs de victimes, de pompiers,
ambulanciers, policiers caillassés ou d'agressions physiques pour
un regard, une cigarette. Les parcs ouverts toute la nuit (en France,
ils sont fermés vers 20H avant d'éviter les dégradations ), les gens se promènent jusque très tard
dans la nuit sans regarder derrière eux, en toute sérénité.
Il est évident
que comme dans toutes les sociétés, l'Espagne a son lot de
délinquants et de criminels mais rien à voir avec la France. Il y a
également des cités en Espagne, comme partout en Europe, plus ou
moins avenantes mais point de voitures brûlées non plus pour
« fêter » le nouvel an, les Espagnols, eux-mêmes,
corrigeraient ces marginaux. Là-bas, on ne plaisante pas avec les
traditions, les valeurs et l'honneur, ces mots ont même gardé tout
leur sens malgré les années, l'Union européenne... Pour éléments
de comparaison, il suffit de se souvenir de la triste fête du PSG au
Trocadéro qui avait choqué les Français avec celles du football
espagnol. Et le déraillement du train de Brétigny-sur-Orge où des
« jeunes » dépouillaient les victimes pendant que la
solidarité se faisait pendant le déraillement en Espagne ? Oui, on reconnaît
les gens civilisés à leur comportement en toutes circonstances.
Les Français, pas tous, fort heureusement, perdent leurs manières
civilisées en même temps que leur dignité, lentement mais sûrement.
L'immigration
n'est pas la même en Espagne qu'en France.
Avec habileté, l'Espagne a choisi, « selon les obligations le
l'Union européenne », les Américains du sud qui partagent les
mêmes valeurs et la même langue. Tout est donc plus facile pour
expliquer les règles et les lois dans ce pays.
L'Allemagne, pays
rayonnant, a eu aussi l'intelligence de choisir des Européens et
quelques Turcs afin de s'assurer aussi une tranquillité de vie.
La Grèce, le
Portugal et l'Italie, tous en crise, ne rencontrent pas, non plus,
ces vagues de violences pour les mêmes choix intelligents
d'immigrés.
Le canard
boiteux est, bien évidemment, la France qui
s'est crue obligée, de part son histoire (comme les autres pays,
d'ailleurs) en repentance et auto-flagellation permanentes, de
choisir l'immigration africaine et maghrébine... alors que les antagonismes sont flagrants. L'histoire récente a laissé trop
de traces, de frustrations dont certains, des revanchards de la
colonisation, viennent gonfler les rangs de la haine entre
communautés aux revendications péremptoires.
Rappel : l'immigration "invitée" à séjourner vise à baisser les salaires mais comme c'est l'Union européenne qui l'impose, les Français doivent s'y soumettre en payant aussi aux immigrés les aides qui ne leur sont pas forcément accordées.
Rappel : l'immigration "invitée" à séjourner vise à baisser les salaires mais comme c'est l'Union européenne qui l'impose, les Français doivent s'y soumettre en payant aussi aux immigrés les aides qui ne leur sont pas forcément accordées.
La France
s'est trompée d'immigration, elle
aurait pu choisir les Russes ou les Chinois en attendant mais la
dictature de la victimisation a pris le dessus, Marianne en a perdu
sa dignité avec une grosse dose d'empathie électoraliste.
La culture de
l'excuse est une spécificité française, on ne la trouve pas ou peu
dans les autres pays. La France a
commencé son déclin dès qu'elle a accepté la fatalité de la
violence et l'usage outrancier de l'excuse.
En revanche,
comme le Portugal et la Grèce,
l'Espagne, qui a faim du fait de son économie pillée par les
socialistes, ne sombre pas dans la folie, la barbarie comme le fait
la France.
Certains Français
et immigrés n'ont pas même l'excuse (de plus) de la faim, ils sont
guidés par la haine de l'autre savamment distillée par les
politiques présente et passées.
La France crève
de ses haines alimentées par des apprentis-sorciers ne pensant
jamais à son destin et ceux des Français payant sans mot dire, mais à leur
propre élection et réélection.
Les politiques de
tous bords, à part ceux du Front National, qui ont bien identifié
le problème et depuis longtemps, devraient se pencher sur cette
exception « culturelle » française de la violence et se
remettre en question.
Tous les pays
cités ont gardé leurs valeurs chrétiennes en intégrant une
immigration compatible avec lesdites valeurs. Le
nombre de musulmans, augmentant chaque année, impose un nouveau
rythme à la France, la ralentissant le plus souvent par les cinq
prières par jour...
La haine venue
d'ailleurs, le nombre trop important de prières empêchent de se
consacrer à la création, l'innovation, à la compétitivité.
L'exemple de la Syrie où l'on voulait (encore) se servir des
Occidentaux pour faire le sale boulot devrait interpeller les plus
intelligents (il en reste en France).
Les
« responsables » politiques ne devraient-ils pas, non
plus, s'inquiéter de ces Français « de souche »
convertis à l'islam partis faire le jihad dans des guerres qui ne
sont pas les nôtres ? Si les musulmans n'étaient pas aussi nombreux
(une minorité doit le rester pour la cohésion d'une nation), ces gens se seraient-ils
convertis et seraient-ils aller combattre pour des guerres de religion ?
Autant de questions qui obligent à
reconnaître une certaine naïveté à juger les autres à notre
propre image : trop respectueux, soucieux du bien-être des autres
avant celui des nôtres, les faiblesses aussi desdits politiques à
ne penser qu'à leur siège doré. De là, à penser à la
corruption, il n'y a pas qu'un pas mais c'est un autre débat.
C'est donc au sein
de notre pays que nous avons les réponses à tous nos maux et échecs et dans
tous les domaines. Quant à l'image des Français à l'étranger,
elle est déplorable car nous sommes jugés d'après les images
reçues par le monde entier. Même si les « organes »
gouvernementaux médiatiques tentent de taire, omettre, désinformer,
à l'ère numérique, tout se sait et se voit...