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21 septembre 2013

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Il aurait été intéressant de faire la comparaison avec d'autres pays en crise comme la Grèce, le Portugal ou l'Italie mais l'Espagne, dont il est question, est le deuxième ou troisième pays (selon les humeurs des déclarants) le plus visité au monde (avant ou après la France, peu importe...) ; l'essentiel est de faire le constat sans appel de la sécurité et de la tranquillité qui règnent dans ce pays pour les habitants et les touristes.

En Espagne, 26,26 % de la population active est au chômage avec une petite embellie depuis les six derniers mois. 
La culture de l'excuse du chômage de nos jeunes barbares français ne tient donc pas la route. Démonstration : 
Très accueillants, les Espagnols gardent leurs traditions, sortent beaucoup, aiment faire la fête, boire et manger alors que les Français s'enferment chez eux dès la nuit tombée, menant une vie austère, évitant ainsi le risque de se faire agresser ; ils « s'endorment », barricadés dans leur tour (non faite d'ivoire) ou dans leur maison, laissant les nouveaux venus envahir leurs rues et semer le désordre.

Si les Espagnols souffrent, ils le font dans la dignité et sans sauvagerie : point de règlements de comptes à la Kalach, point de détrousseurs de victimes, de pompiers, ambulanciers, policiers caillassés ou d'agressions physiques pour un regard, une cigarette. Les parcs ouverts toute la nuit (en France, ils sont fermés vers 20H avant d'éviter les dégradations ), les gens se promènent jusque très tard dans la nuit sans regarder derrière eux, en toute sérénité.
Il est évident que comme dans toutes les sociétés, l'Espagne a son lot de délinquants et de criminels mais rien à voir avec la France. Il y a également des cités en Espagne, comme partout en Europe, plus ou moins avenantes mais point de voitures brûlées non plus pour « fêter » le nouvel an, les Espagnols, eux-mêmes, corrigeraient ces marginaux. Là-bas, on ne plaisante pas avec les traditions, les valeurs et l'honneur, ces mots ont même gardé tout leur sens malgré les années, l'Union européenne... Pour éléments de comparaison, il suffit de se souvenir de la triste fête du PSG au Trocadéro qui avait choqué les Français avec celles du football espagnol. Et le déraillement du train de Brétigny-sur-Orge où des « jeunes » dépouillaient les victimes pendant que la solidarité se faisait pendant le déraillement en Espagne ? Oui, on reconnaît les gens civilisés à leur comportement en toutes circonstances. Les Français, pas tous, fort heureusement, perdent leurs manières civilisées en même temps que leur dignité, lentement mais sûrement.

L'immigration n'est pas la même en Espagne qu'en France. Avec habileté, l'Espagne a choisi, « selon les obligations le l'Union européenne », les Américains du sud qui partagent les mêmes valeurs et la même langue. Tout est donc plus facile pour expliquer les règles et les lois dans ce pays.

L'Allemagne, pays rayonnant, a eu aussi l'intelligence de choisir des Européens et quelques Turcs afin de s'assurer aussi une tranquillité de vie.
La Grèce, le Portugal et l'Italie, tous en crise, ne rencontrent pas, non plus, ces vagues de violences pour les mêmes choix intelligents d'immigrés.

Le canard boiteux est, bien évidemment, la France qui s'est crue obligée, de part son histoire (comme les autres pays, d'ailleurs) en repentance et auto-flagellation permanentes, de choisir l'immigration africaine et maghrébine... alors que les antagonismes sont flagrants. L'histoire récente a laissé trop de traces, de frustrations dont certains, des revanchards de la colonisation, viennent gonfler les rangs de la haine entre communautés aux revendications péremptoires.
Rappel : l'immigration "invitée" à séjourner vise à baisser les salaires mais comme c'est l'Union européenne qui l'impose, les Français doivent s'y soumettre en payant aussi aux immigrés les aides   qui ne leur sont pas forcément accordées. 
La France s'est trompée d'immigration, elle aurait pu choisir les Russes ou les Chinois en attendant mais la dictature de la victimisation a pris le dessus, Marianne en a perdu sa dignité avec une grosse dose d'empathie électoraliste.
La culture de l'excuse est une spécificité française, on ne la trouve pas ou peu dans les autres pays. La France a commencé son déclin dès qu'elle a accepté la fatalité de la violence et l'usage outrancier de l'excuse.

En revanche, comme le Portugal et la Grèce, l'Espagne, qui a faim du fait de son économie pillée par les socialistes, ne sombre pas dans la folie, la barbarie comme le fait la France.
Certains Français et immigrés n'ont pas même l'excuse (de plus) de la faim, ils sont guidés par la haine de l'autre savamment distillée par les politiques présente et passées.
La France crève de ses haines alimentées par des apprentis-sorciers ne pensant jamais à son destin et ceux des Français payant sans mot dire, mais à leur propre élection et réélection.
Les politiques de tous bords, à part ceux du Front National, qui ont bien identifié le problème et depuis longtemps, devraient se pencher sur cette exception « culturelle » française de la violence et se remettre en question.

Tous les pays cités ont gardé leurs valeurs chrétiennes en intégrant une immigration compatible avec lesdites valeurs. Le nombre de musulmans, augmentant chaque année, impose un nouveau rythme à la France, la ralentissant le plus souvent par les cinq prières par jour...
La haine venue d'ailleurs, le nombre trop important de prières empêchent de se consacrer à la création, l'innovation, à la compétitivité. L'exemple de la Syrie où l'on voulait (encore) se servir des Occidentaux pour faire le sale boulot devrait interpeller les plus intelligents (il en reste en France).

Les « responsables » politiques ne devraient-ils pas, non plus, s'inquiéter de ces Français « de souche » convertis à l'islam partis faire le jihad dans des guerres qui ne sont pas les nôtres ? Si les musulmans n'étaient pas aussi nombreux (une minorité doit le rester pour la cohésion d'une nation), ces gens se seraient-ils convertis et seraient-ils aller combattre pour des guerres de religion ? Autant de questions qui obligent à reconnaître une certaine naïveté à juger les autres à notre propre image : trop respectueux, soucieux du bien-être des autres avant celui des nôtres, les faiblesses aussi desdits politiques à ne penser qu'à leur siège doré. De là, à penser à la corruption, il n'y a pas qu'un pas mais c'est un autre débat.

C'est donc au sein de notre pays que nous avons les réponses à tous nos maux et échecs et dans tous les domaines. Quant à l'image des Français à l'étranger, elle est déplorable car nous sommes jugés d'après les images reçues par le monde entier. Même si les « organes » gouvernementaux médiatiques tentent de taire, omettre, désinformer, à l'ère numérique, tout se sait et se voit...

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