Le ministre de l'Intérieur avait déjà proposé de dénoncer les forces de l'ordre qui se comporteraient mal, il est évident que les éternelles victimes sont entrées dans la brèche comme il était à craindre.
Le pire est que Manuel Valls utilise les données de sites qui auraient dû être fermés compte tenu de leur dangerosité et animosité envers tout ce qui représente l'ordre.
- Une enquête de l’IGPN (police des polices) a (NDLR donc) été diligentée par le ministère de l’Intérieur afin d’identifier les auteurs de propos racistes postés, après les incidents de Trappes, sur une page Facebook dédiée à la police, a-t-on appris mardi auprès de la Place Beauvau. Le Parisien
La chasse aux mots est faite lorsqu'il est impossible de guérir les maux, puis la chasse à l'homme est clairement lancée par deux sites relayés par un média ami.
Repris par un autre site "antifa" : http://paris.indymedia.org/, Copwatch-Nord-Ile-de-France dont le slogan est "qui nous protège contre la police", comme si les antifas étaient des enfants de choeur, l'affaire Méric ayant dévoilé leur "extrême" tolérance, publie des photos de policiers et de gendarmes, ainsi parfois que leurs noms, leurs adresses personnelles, services d'affectation et profils Facebook.
Selon Le Parisien, "La justice a ordonné à plusieurs reprises la fermeture de ce site qui, à chaque fois, a été réactivé."
Afin de protéger les forces de l'ordre et la population, qui n'adhèrerait à leur haine, si la justice ne peut pas déactiver ces sites et on comprend mieux pourquoi, les internautes pourront certainement les faire fermer par des "bombardements" de signalements à leur hébergeurs. En outre, les plus initiés sauront quoi faire.
Ces sites devront être, par ailleurs, surveillés au cas où ils "déménageraient". Pour les suivre, il suffit de créer des alertes mails avec le mot antifa ou autre mot clé les caractérisant pour être informé de leurs déplacements sur le net.
Si la justice et le gouvernement ne peuvent pas protéger la population ni ses forces de l'ordre, ces petits gestes citoyens devraient freiner cette spirale de haine dans laquelle la France est entrée. Inimaginable quand on entendait François Hollande vendre une France apaisée (uniquement pour ses électeurs et des minorité influentes). Mais le mensonge est devenu habituel chez ces gens là, du moment qu'ils prennent le pouvoir, c'est tout ce qui les intéresse. Et surtout pour faire quoi : à part régler des comptes ?...
Les "antifascistes" sont aussi une source d'électeurs dont le PS ne peut faire l'économie alors qu'il est complètement désavoué par la majorité des Français au bord de l'insurrection devant le mépris, les inégalités et les injustices qu'ils subissent au quotidien.
Rappel des sites antifas dangereux : http://paris.indymedia.org/ et Copwatch-Nord-Ile-de-France. Il y a sûrement beaucoup plus mais ces deux là sont les plus visibles sur le net.
NB : Les fascistes de demain s'appelleront eux-mêmes antifascistes. » — Winston Churchill
Sur le sujet :