Mais "la femme "est sous le choc" (quel choc ???? ), le mari décide à sa place que la police n'a pas à l'entendre et la "communauté musulmane " est mobilisée... Enfin, quand je dis "communauté"... il s'agit de la face masculine de la dite communauté. Ce rassemblement est une honte, en France. Non seulement les femmes en sont absentes, non seulement ce qui s'est passé témoigne de la pression permanente mise par la communauté musulmane sur la société civile, sur la police... afin d'exiger que tout musulman devienne intouchable. Le communautarisme s'installe. Les forces de pression également. La liberté d'expression est en danger. La liberté de critiquer le voile et d'exprimer son opposition à une telle stigmatisation disparaît peu à peu.
Et quelle est la réponse du directeur du jeune dont on peut deviner que ce dernier est, comme 80% des Français, exaspéré et inquiet devant la montée de l'islam dans notre pays ? Il le met dehors, interrompant une formation de haut niveau qui allait lui donner la certitude de ne jamais connaître le chômage.
Si le jeune, lors de son altercation avec le mari a pris le parti-pris de dire qu'il était facho, raciste etc. c'est sans doute qu'il a repris les insultes qui lui ont été prodiguées généreusement, et qu'il ne se soit pas aplati prouve son courage et ses convictions, manifestées par son opposition au voile.
Avec lui, de tout coeur.
Ecrivons-le au Directeur des Compagnons du Devoir de Reims.
Compagnons Du Devoir
115 Boulevard Charles Arnould
51100 Reims
Tél. : 0326877949
Compagnons Du Devoir
115 Boulevard Charles Arnould
51100 Reims
Tél. : 0326877949
"Ni voile arraché, ni même effleuré. Telle est la version de l'apprenti
de 17 ans recueilli par la police après l'altercation qui l'a opposé ce
week-end à un couple d'automobilistes musulmans croisé à Reims (nos précédentes éditions).
Ses propos rejoignent ceux des deux autres Compagnons du devoir qui se
trouvaient avec lui, sans contradiction flagrante, d'ailleurs, avec le
récit des plaignants.
L'épisode du « foulard arraché » à travers la vitre de la voiture, qui a circulé dès dimanche soir, semble résulter d'une déformation des faits favorisée par la vague d'émotion qui a parcouru la communauté musulmane rémoise.(...)
Face à face avec le mariL'épisode du « foulard arraché » à travers la vitre de la voiture, qui a circulé dès dimanche soir, semble résulter d'une déformation des faits favorisée par la vague d'émotion qui a parcouru la communauté musulmane rémoise.(...)
Toutes les parties s'accordent à dire que l'apprenti a fait un geste en direction de la passagère pour qu'elle retire son foulard islamique. Indigné, le mari a fait marche arrière puis est descendu du véhicule afin de s'expliquer avec le garçon.
Les deux autres Compagnons indiquent que l'automobiliste l'a empoigné par le bras et confirment avoir entendu leur camarade lui dire que sa femme « n'avait pas le droit de mettre un voile en France à la vue de tout le monde ». L'époux lui alors demandé s'il était « raciste ». L'ado a répondu par l'affirmative, ajoutant qu'il était « facho ».
Selon les témoins, l'altercation s'est terminée sur cet échange verbal, sans aucun contact physique ni même tentative d'approche vers la passagère restée dans la voiture stationnée « à quatre ou cinq mètres » de distance.
Plus tard, de 19 heures à 22 h 30, entre cinquante et cent personnes se sont rassemblées devant la maison des Compagnons du devoir, boulevard Charles-Arnould, puis devant le commissariat, pour dénoncer le comportement de l'apprenti. Reçu le soir même par le directeur, il s'est vu signifier son exclusion immédiate, avant de se rendre à l'hôtel de police où sa version des faits s'est révélée conforme à celle de ses camarades.
Plaintes croisées
Durant le temps de la garde à vue, une confrontation avec la plaignante aurait dû être organisée mais le mari l'a refusée, expliquant au nom de son épouse que celle-ci, sous le choc, avait peur de revoir le jeune homme.
En l'état actuel des investigations, et dans l'attente d'un examen plus approfondi du dossier, le parquet de Reims a prescrit la remise en liberté de l'adolescent sans suite judiciaire.
Outre le couple d'automobilistes, huit associations musulmanes ou sympathisantes ont porté plainte contre l'ex-apprenti, lequel a fait savoir qu'il envisageait lui aussi d'intenter une action en justice contre ceux qui ont colporté l'épisode du « foulard arraché ». L'Union Presse