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| Exemple de l'immense tolérance de gauche : « Le suicide d’un facho à Notre-Dame : que les autres suivent son exemple ! » |
Même si l'on ne partage pas toutes les idées de l'historien, on peut en respecter le suicide
hautement symbolique, un avertissement de la décadence de la France
et de l'Europe ainsi que sur leur islamisation galopante. Le Mariage
pour tous était aussi pour Dominique Venner un signe de cette future
décadence.
Au-delà des symboliques, ainsi que je
le pressentais et l'avais répété à maintes reprises, les Français
du pays des droits de l'homme, n'auraient pas laissé passer ce
mariage. Ce peuple chrétien connaît son chemin et il n'en déviera pas.
Ainsi que le souligne Ivan Rioufol sur
son blog la souffrance « exacerbée » de Dominique Venner « reste un témoignage qui mérite le respect. ».
Mais ne suscite pas celui des barbares élevés par la culture de gauche.
L'on se souvient du décès de Margaret
Thatcher, ancien Premier
Ministre britannique, et ses déferlements de haine et d'insultes
même lors de son enterrement.
La
mort d'un être humain, du moment qu'il ne vient pas de la gauche
pseudo humaniste (en y incluant certains "humanistes" de l'UMP et de l'UDI), ne représente rien, il est même enterré sous des
déjections verbales, sans se soucier des familles.
La
mort de Dominique Venner démontre au monde entier la haine de
certains Français envers d'autres Français, générée par l'idéologie de
gauche, qui doit être analysée très sérieusement, au risque de
voir sauter le couvercle d'un trop vieux chaudron en ébullition
depuis des décennies.
Avec
le suicide de l'historien, le gouvernement et la gauche découvrent un autre monde : les véritables penseurs et intellectuels que l'on ne
voyaient pas sur les plateaux de télévision -pendant que d'autres dispensaient « la
bonne parole »-, ceux qui travaillaient dans l'ombre, humblement, à un
autre destin pour la France et pour le monde. Ils découvrent aussi l'idéologie d'un homme de la
droite nationale qui a préféré se donner la mort plutôt
qu'attenter à celle des autres. Leurs théories sur les nazis de la pseudo extrême-droite française volent en éclats, rien à voir avec Anders Breivik qui avait tué 77 personnes et fait 151 blessés.
Tous leurs slogans électoralistes injurieux ne tiennent plus la route
Dominique Venner, homme de droite nationale, s'est donné la mort en la cathédrale Notre Dame
de Paris afin de dénoncer l'inertie de l'église catholique à
protéger son patrimoine originel.
L'Eglise vient encore de se discréditer par les propos durs de ses représentants sur les plateaux de télévision, faisant le jeu des intolérants. Privilégiant la vie, elle ne reconnaît pas le suicide mais elle peut encore pardonner, l'a-t-elle oublié ? Reconnaissons-lui, cependant, une avancée : elle accepte d'enterrer ces morts de souffrance découlant de différentes blessures.
J'ai envie de rappeler à l'Eglise catholique qu'elle ne représente pas tous les chrétiens et qu'elle connaît mal ses ouailles... qu'elle oublie de les protéger quand elles se font massacrer et sont réprimées dans le monde entier.
Lire, pour conforter l'idée de Dominique Venner : Vous avez dit déchristianisation ? Mais qui est "Vous"? et : Islamisation : un musulman allemand converti au christianisme met en garde l’Occident (vidéo)
Je
suis très affectée de voir que l'humain ne vaut rien quand il a des
idées différentes mais surtout de constater la sauvagerie,
l'indécence des soi-disant mieux pensants que moi. Je suis devenue marginale dans mon propre pays, chrétien : je dis des vérités qui dérangent, je cache ma petite croix car elle est regardée de travers à cause du gouvernement et des médias voyant des "cathos intégristes" partout, opposés au mariage pour tous, alors qu'ils ne sont que de simples et paisibles chrétiens, comme moi... Tout ce mal fait à une majorité de Français pour une minorité qui rendra les enfants inégaux...
Je pense être en rémission d'un cancer et certains qui me connaissent savent que mon bonheur principal est d'être en vie. Je respecte la décision de Dominique Venner car il était sain de corps et d'esprit ainsi qu'il l'indiquait dans une lettre posthume mais je partage aussi les déclarations de Jean-Marie Le Pen : « Moi je suis de ceux qui considèrent qu’il faut se battre. Il faut rester vivant, il faut se battre. ». Et c'est ce que je fais tous les jours, d'un point de vue médical mais aussi politique.
Je
ne voulais pas parler de ma maladie mais le suicide de Dominique
Venner renvoie chacun à sa propre histoire, ses origines, sa culture,
son vécu.
Les
combats se mènent donc de différentes façons mais celui qui doit
primer est la vie, débout, défendant la France et les valeurs
auxquelles on croit.
