Communiqué de Presse de Marine Le Pen, Présidente du Front National
La modification des horaires de la SNCF, qui cette fois encore n’a pas fait l’objet de la concertation nécessaire avec les usagers, cache surtout de nouvelles suppressions de dessertes en milieu rural.
C’est une nouvelle fois le service public qui recule, et un coup dur porté aux Français qui n’habitent pas dans les grandes agglomérations.
La SNCF est le symbole le plus inquiétant de l’affaiblissement dramatique des services publics dans notre pays.
Abandonné par les gouvernements successifs qui depuis des années se soumettent à la politique de libéralisation et de démantèlement de l’Union européenne, le service public français, et en particulier le service public ferroviaire, est en crise. Les inégalités s’accroissent entre les territoires, les tarifs augmentent sans cesse, et la qualité du service rendu est globalement en baisse.
L’Etat doit fixer un nouveau cap pour le train et plus généralement pour le service public. Les directives européennes de libéralisation doivent être dénoncées, les projets de privatisation stoppés et les tarifs beaucoup plus strictement encadrés. Enfin, le dialogue avec les usagers doit être une priorité pour l’ensemble des entreprises de service public. Frontnational.com
Relayé par Vos Tribunes à la Une
La modification des horaires de la SNCF, qui cette fois encore n’a pas fait l’objet de la concertation nécessaire avec les usagers, cache surtout de nouvelles suppressions de dessertes en milieu rural.
C’est une nouvelle fois le service public qui recule, et un coup dur porté aux Français qui n’habitent pas dans les grandes agglomérations.
La SNCF est le symbole le plus inquiétant de l’affaiblissement dramatique des services publics dans notre pays.
Abandonné par les gouvernements successifs qui depuis des années se soumettent à la politique de libéralisation et de démantèlement de l’Union européenne, le service public français, et en particulier le service public ferroviaire, est en crise. Les inégalités s’accroissent entre les territoires, les tarifs augmentent sans cesse, et la qualité du service rendu est globalement en baisse.
L’Etat doit fixer un nouveau cap pour le train et plus généralement pour le service public. Les directives européennes de libéralisation doivent être dénoncées, les projets de privatisation stoppés et les tarifs beaucoup plus strictement encadrés. Enfin, le dialogue avec les usagers doit être une priorité pour l’ensemble des entreprises de service public. Frontnational.com
Relayé par Vos Tribunes à la Une