FLORANGE - Marine Le Pen estime qu'Arnaud Montebourg aurait dû démissionner, après l'arbitrage rendu par le gouvernement sur le dossier du site ArcelorMittal de Florange. Mais la présidente du Front National estime que si le ministre du Redressement productif ne l'a pas fait, c'est parce qu'il "défend son intérêt personnel".
Invité du JT de midi de France 3, dimanche 3 décembre, Marine Le Pen a jugé que le ministre, qui avait brandi la menace de la nationalisation de ce site sidérurgique mosellan, "vient d'être très sèchement désavoué par le gouvernement auquel il participe".
"Je suis dans une vision gaullienne de l'intervention de l'état stratège", a assuré la leader du parti d'extrême-droite, à propos de ce site de production d'acier. Et l'eurodéputée de conclure : "Lorsqu'un secteur stratégique est en danger, l'Etat doit pouvoir intervenir". francetvinfo.fr
Sur France 3, Marine Le Pen, présidente du Front National, a assuré : "Le droit des femmes est en train de reculer, notamment à cause d'une immigration massive qui porte en elle une vision, une culture des fondamentalistes qui ont de la femme une vision absolument dépréciée, qui ont pour les femmes le plus grand mépris et l'expriment de manière quotidienne. Oui, l'insécurité qui touche les femmes augmente."
Interrogée sur les conclusions de l'Observatoire national de l'islamophobie dénonçant à la mi-novembre une hausse "inquiétante" d'actes islamophobes, elle a dénié "tout sérieux, toute crédibilité, toute légitimité à cette association prosélyte", financée "par M. Soros, le grand manitou de la mondialisation et de la loi de la jungle".
"Ce sont des clandestins"
Concernant l'immigration, elle a assuré, en mettant en cause le ministre de l'Intérieur Manuel Valls, qu'en "cette matière comme en beaucoup d'autres, c'est la politique UMPS', ils sont parfaitement d'accord". "La droite a fait preuve d'un immense laxisme", avec "200 000 entrées légales par an, sans compter les clandestins qui ne sont plus renvoyés dans leur pays". Réfutant le terme de "sans-papiers" qui réduit "le problème à une situation administrative", elle a tranché : "Ce sont des clandestins, ils violent la loi française."
Quand M. Valls en régularise 30 000, notamment ceux qui travaillent, "il répond aux exigences du Medef". "Le PS main dans la main avec le grand patronat, ça peut en étonner certains. Moi, en tout cas, ça ne m'étonne pas", a conclu Marine Le Pen lepoint.fr
Invité du JT de midi de France 3, dimanche 3 décembre, Marine Le Pen a jugé que le ministre, qui avait brandi la menace de la nationalisation de ce site sidérurgique mosellan, "vient d'être très sèchement désavoué par le gouvernement auquel il participe".
"Je suis dans une vision gaullienne de l'intervention de l'état stratège", a assuré la leader du parti d'extrême-droite, à propos de ce site de production d'acier. Et l'eurodéputée de conclure : "Lorsqu'un secteur stratégique est en danger, l'Etat doit pouvoir intervenir". francetvinfo.fr
Sur France 3, Marine Le Pen, présidente du Front National, a assuré : "Le droit des femmes est en train de reculer, notamment à cause d'une immigration massive qui porte en elle une vision, une culture des fondamentalistes qui ont de la femme une vision absolument dépréciée, qui ont pour les femmes le plus grand mépris et l'expriment de manière quotidienne. Oui, l'insécurité qui touche les femmes augmente."
"Ce sont des clandestins"
Concernant l'immigration, elle a assuré, en mettant en cause le ministre de l'Intérieur Manuel Valls, qu'en "cette matière comme en beaucoup d'autres, c'est la politique UMPS', ils sont parfaitement d'accord". "La droite a fait preuve d'un immense laxisme", avec "200 000 entrées légales par an, sans compter les clandestins qui ne sont plus renvoyés dans leur pays". Réfutant le terme de "sans-papiers" qui réduit "le problème à une situation administrative", elle a tranché : "Ce sont des clandestins, ils violent la loi française."
Quand M. Valls en régularise 30 000, notamment ceux qui travaillent, "il répond aux exigences du Medef". "Le PS main dans la main avec le grand patronat, ça peut en étonner certains. Moi, en tout cas, ça ne m'étonne pas", a conclu Marine Le Pen lepoint.fr
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