La guerre contre la drogue n'a pas été menée, comme l'alcool et le
tabagisme ont fait l'objet de campagnes de prévention, la drogue semble
encore un sujet publicitaire tabou.
Des études récentes montrent que les neurones sont attaqués même en
fumant du cannabis, drogue classée dans les "douces", si tant est que le
fait de l'addiction le rende "inoffensif". La première "drogue douce"
étant, le plus souvent, coupée afin de rendre les consommateurs plus
accros, encore...
On sait aussi que la prise de drogue occasionne des accidents de la route, rompt des couples et fait beaucoup de malheureux...
On se demande souvent pourquoi cette guerre contre la drogue n'a pas et n'est pas menée.
Le débat avait été lancé par Daniel Vaillant, ancien Ministre de l'Intérieur de 2000 à 2002 des gouvernements Jospin, qui avait envoyé un signal fort en 2003.
« Dans un article du quotidien Libération, Daniel Vaillant propose la légalisation de la consommation personnelle de cannabis à travers un contrôle de la production et de l'importation, comme c'est le cas avec l'alcool. Il précise : « On
peut imaginer un contrôle des approvisionnements extérieurs et une
production en France. Tout se ferait dans la transparence, dans la règle
comme pour le tabac et l'alcool. Pas de produits frelatés, pas
d'économies souterraines et une vente à des endroits précis et
contrôlés, interdite aux mineurs de moins de 16 ans. Autoriser la
consommation donc, mais pénaliser la conduite à risque comme pour
l'alcool. Et durcir la pénalisation pour les trafiquants. »
L'idée, partie d'un bon sentiment... utopique (dû
à quoi ?), a eu un impact certain sur les mentalités, faisant tomber
des barrières morales et sanitaires.
Depuis, l'idée ne cesse de hanter les esprits et
le débat remis sur le tapis y compris par le Ministre de l'Education
nationale, Vincent Peillon, qui "inconsciemment" venait de réduire à
néant le peu de prévention chèrement acquise en une phrase auprès des
élèves...
Toutes celles et ceux utilisant le même discours
font penser à l'alcoolique qui vous pousse à boire pour se
déculpabiliser car, au fond de lui, il sait bien qu'il se détruit.
La drogue, le talon d'Achille des Français, un de
plus, arrange les politiques pouvant gouverner des "mous du bulbe",
faisant baisser le niveau scolaire car incapables de se concentrer sur
les bases élémentaires de l'enseignement avec, en sus, des communautés
refusant la culture du pays qui les accueille. Coktail imparable pour
sombrer dans l'idiocratie dans les prochaines décennies...
La drogue maintient aussi une paix sociale avec
son économie parallèle, engraissant même les banques peu regardantes sur
cet argent sale. Peu importe, la fabrique à moutons aveugles est
rentable sur tous les plans... sans penser à demain...
L'intelligence française baisse considérablement
par manque de courage des politiques, l'appât du gain et une
tranquillité ponctuelle car l'effet pervers d'une guerre non menée
contre la drogue, c'est l'islam, l'autre opium du peuple qui propose de
vivre sans et avec beaucoup de prières, de préférence intégristes...
D'ailleurs, on se demande même si ceux qui ont
oeuvré pour la mondialisation n'ont pris de ces substances illicites au
vu des dégâts énormes sur les économies occidentales, certains ayant
passé tous nos vices à la loupe...
Et si on redescendait sur terre ?
Sur le sujet : Nicolas Bedos : "Ma vie est un cimetière psychiatrique à cause de la coke et de l'alcool" (vidéo-extraits Grand Public)
Drogue ? Quelle drogue ?
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