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Journée noire hier pour le tribunal de
Perpignan. Alors que l'on apprenait que le projet de construction de la
nouvelle cité judiciaire était abandonné, au même moment un groupe de
jeunes attaquait le palais de justice et commettait des dégradations,
ajoutant encore à la vétusté du bâtiment.
Dans l'après-midi, une trentaine de
parents et amis s'étaient rassemblés quai Delâtre-de-Tassigny afin
d'attendre un jeune homme, récemment arrêté dans le cadre d'une enquête
pour trafic de stupéfiants menée par la police judiciaire, à sa sortie
de déferrement. Or, certains de ses proches, tenus à distance par la
police, étaient pourtant déterminés à l'approcher avant son transfert
pour la prison. Au point de donner subitement l'assaut, de tenter
d'extirper leur "copain" du fourgon cellulaire tout en menaçant les
forces de l'ordre de mort et en s'en prenant au portail du tribunal. Le
battant, selon les témoins, a été cassé à coups de pierre et de pied,
prenant au piège les véhicules des magistrats et empêchant toute escorte
d'entrer ou sortir. Les assaillants ont vite été repoussés tandis que
débutait un long face à face silencieux entre les policiers occupés à
garder l'accès fracturé au tribunal et, de l'autre côté de la rue, les
jeunes dans l'attente de l'apparition du mis en cause. Il n'en fut rien.
L'intéressé a vraisemblablement été extrait par une porte dérobée. De
fait, les amis, perdant patience, se sont peu à peu dispersés vers 18 h.
"Nous demandons la création d'un sas" Lire la suite
Communiqué de Presse de Louis Aliot, Vice-président du Front National
Nous apprenons avec stupéfaction l’attaque préméditée du palais de justice de Perpignan par des familles et amis d’un trafiquant de stupéfiant. Ces assaillants, des « jeunes » issus de l’immigration, ont donné l’assaut selon les témoins, et tenté d’extirper leur « copain » d’un fourgon cellulaire tout en menaçant les forces de l’ordre de mort empêchant de sortir magistrats et personnel du palais.
Cette nouvelle violence « clanique » s’accompagne de l’information selon laquelle le gouvernement socialiste abandonne le projet de cité judiciaire dont Perpignan aurait un grand besoin, tant pour un meilleur fonctionnement de la justice que pour la sécurité publique.
On ne peut s’empêcher de songer au 45 millions d’euros dépensés par les politiques locaux pour un théâtre élitiste et indécent dans une des villes les plus pauvres de France où l’insécurité se banalise.
Le Front National demande aux pouvoirs publics de poursuivre les voyous qui s’en prennent à l’un des symboles de l’autorité de l’Etat et à madame Taubira de revenir sur sa décision.
Les citoyens et contribuables ne comprendraient pas que des projets utiles à la vie de la cité soient écartés alors que leur argent est dépensé inutilement dans des équipements accessoires liés à la mégalomanie de certains élus locaux !
frontnational.com