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| Organisation Internationale de la Francophonie carte 2008 cliquer sur l'image pour l'agrandir |
Le Qatar ne maîtrise pas le Français, ne partage pas les mêmes valeurs et a passé une étape pour entrer l'organisation Internationale de la Francophonie.
selon le "Monde", il y a eu des négociations très serrées sur le Qatar. Mais les Qataris ont fait un lobbying terriblement efficace auprès de différents pays, notamment africains" en les achetant, probablement puisqu'ils achètent tout pour pouvoir empoisonner les esprits avec leur religion-secte. A surveiller de très près car l'Afrique soumise a des violents soubresauts pourraient se laisser prendre au piège de à l'islamisation, comme en France. Lire : Après Sarkozy, les Qataris deviennent les amis de François Hollande
L'Arménie, quant elle, a suivi le cursus normal pour entrer à l'OIF et partage le même socle de valeurs françaises et européennes, ce qui n'est pas le cas du Qatar. Encore une incursion scandaleuse dont personne n'est dupe.
Décidément, le Qatar suscite plus de polémiques que de sympathie, seuls les dirigeants successifs et présent sont assez naïfs et/ou avides pour vendre la Francophonie à des personnes, sous couvert de modernité, ont encore des lois datant du 15ème siècle et qui n'évolueront pas, le Qatar étant, comme la majorité des pays arabo-musulmans sous le dictat de la théocratie, gouvernement par Allah.
La Constitution de 1970 a été remplacée par celle de 2003, approuvée lors d'un référendum le 29 avril 2003. L'article 1 reprend les dispositions de 1970 sur la langue:
Article 1 Le Qatar est un État arabe indépendant et souverain. Sa religion est l'islam et la Charia islamique la source première de ses lois. Les femmes sont soit-disant libres,mêm de conduire (quelle mansuétude) mais les abayas (niqabs, voile intégral) sont toujours très à la "mode" comme dans d'autres pays arobo-musulmans, démontrant l'hypocrisie des dirigeants qui veulent se faire accepter du monde entier pour mieux polluer les esprits par des psalmodies du coran.
La Qatar est incapable de faire des élections puisque l'émir a droit et de mort sur le tout le royaume.
La Qatar entre donc par la fenêtre du l'OIF sous prétexte que des écoles privées enseignent le Français dans une ou deux établissements...-comme dans de nombreux pays du monde le font pour les salariés français- mais c'est loin d'être par charité.
C'est aux peuples de décider avec qui il veut vivre et non pas à des dirigeants faisant leurs coups en douce au détriment de la paix sociale.
Quelques extrait de l'article du "Monde
"La Francophonie s'est élargie, samedi 13 octobre à Kinshasa, en accordant à l'Arménie le statut de membre à part entière de l'organisation, celui d'observateur à l'Uruguay et en faisant entrer le Qatar directement comme membre associé, ce qui a fait polémique, a-t-on appris de sources concordantes. L'OIF compte désormais 57 membres - dont 3 associés - et 20 observateurs. (...)
Quant au Qatar, il est entré directement dans l'organisation en tant qu'"Etat associé" sans passer par la "case observateur", comme c'est habituellement la règle, a expliqué cette source. Cette entrée du Qatar a fait grincer des dents, selon une source proche du ministère français de la Francophonie.
La polémique portait principalement sur la légitimité du Qatar, qui n'est pas francophone, à entrer dans l'OIF. Certains participants se sont aussi inquiétés de l'ambition de ce pays de développer davantage son influence en Afrique de l'Ouest musulmane et notamment de sa propension à financer des écoles religieuses prenant parfois la place d'écoles en langue française.
"UN LOBBYING TERRIBLEMENT EFFICACE"
Selon la même source, "il y a eu des négociations très serrées sur le Qatar. Mais les Qataris ont fait un lobbying terriblement efficace auprès de différents pays, notamment africains". Le Qatar aurait ainsi obtenu le soutien de Djibouti et de la Guinée, pour favoriser son entrée au sein de l'OIF. Le pays faisait notamment valoir qu'il accueillait de nombreux expatriés francophones et qu'une radio publique de langue française avait été financée au Qatar, selon une source informée des négociations. Lire l'intégralité de l'article
Relayé par Vos Tribunes à la Une
