
Florian Philippot : "pour les bon élèves : un bon joint, plutôt qu'un bon point ?"
Dépénalisation du cannabis : l'éternel débat ... par LCP
La dépénalisation et/ou la légalisation mettraient des cibles sur le dos des consommateurs, les dealers les visualiseraient et les solliciteraient pour de la drogue plus dure, sachant que le cannabis est transformé afin de créer une véritable dépendance et qu'il affecte déjà l'intellect par ses additifs.
La prescription, en revanche, pour les grands malades peut être envisagée mais seulement par des médecins toxicologues et agrémentés par l'Etat, certains d'entre eux défendant plus une idéologie que la prévention elle-même.
Maintenant, après la protection des nos jeunes, la question se pose sur les people, certains animateurs, journalistes sur les plateaux tv ou radios, banalisant ainsi son usage en oubliant d'expliquer les méfaits sur le cerveau, à terme et une volonté d'essayer "plus" pour comparer.
Le ministre de l'Education n'était donc pas dans son rôle et le message envoyé risque d'être destructeur.
En revanche, il faudrait inclure la prévention dans drogues, tabac, alcool et joint, voire plus, dès la sixième au collège même titre que l'éducation sexuelle ou la prévention du SIDA.
Les accidents de la route causés par la prise de drogue et trop de joints fumés commençant à faire des ravages sur les routes au même titre que l'alcool, s'il faut faire un débat c'est définir ce qui est de la salubrité publique, là tout le monde serait partant.