Du pain bénit pour occuper l’espace laissé vacant par la droite locale atomisée. Robert Morio ne s’en est pas privé. Hier, le patron du Front National audois a enfourché un vieux cheval de bataille frontiste, en accusant les « technocrates bruxellois qui ne sont même pas élus » de ravir « la souveraineté » des États.
« Tout ce que l’Europe touche, elle le casse », a-t-il souligné doctement, stylo glissé entre ses mains croisées, jetant un œil sur ses notes. C’est le traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance (TSCG), plus connu sous le nom de pacte budgétaire européen qui est dans le collimateur du Front National.
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