Le commandant du 8e RPIMa de Castres a limité les quartiers libres et donné des consignes de prudence après de violents incidents avec des jeunes qui ont coûté un oeil à l'un de ses hommes.
Une bataille rangée a opposé une soixantaine de soldats et de jeunes dans la nuit de vendredi à hier en marge d'une fête locale. Les soldats du 8e Régiment de parachutistes d'infanterie de marine (RPIMa) ont été insultés aux cris de "sales militaires" ou "sales Français" à leur sortie d'un bar du centre où ils avaient pris un verre, a rapporté le colonel Eric Chasboeuf, chef de corps du 8e RPIMa.
Une bagarre générale sur la grande place du centre
Selon ce dernier, les parachutistes, au nombre d'une dizaine à cet instant, avaient eu le tort de défendre une jeune fille qu'importunaient des jeunes dans le bar. Les soldats se sont retrouvés devant l'établissement en présence d'un nombre beaucoup plus important de jeunes qui avaient appelé du renfort. L'alcool aidant, les coups sont partis entre les jeunes, pour certains connus des services de police, et les soldats. D'autres militaires et d'autres jeunes sont arrivés à la rescousse. L'affrontement a tourné à la bagarre générale sur la grande place du centre, tandis que les participants à la fête se réfugiaient où ils pouvaient.
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En juillet 2011, Des individus armés avaient attaqué la caserne du 8ème RPIMa à Castres, l'affaire était passée aux oubliettes afin de préserver "la paix sociale" même avec Sarkozy aux manettes. Changement de président, plus "normal" pour une "France apaisée" dont le message n'a pas été reçu ou plutôt refusé... Le vote communautaire dont avait bénéficié François Hollande lors de l'élection présidentielle demandait plus de largesses en retour. Effet garanti... Sans oublier le message envoyé par la Garde de Sceaux "afin de libérer" les prisons au lieu d'en construire d'autres (créant ainsi des emplois).
Rappel : Une démographie augmentant implique automatiquement une augmentation de la criminalité, les sociétés, en général, ayant, le plus souvent, un pourcentage d'individus non insérables et proportionnellement à la hausse la démographie.
Notre pays est au bord de l'implosion mais les dirigeants ne veulent pas le voir ou le faire savoir.
Partout en France, des épisodes de rare violence voient le jour, certains n'étant pas relayés dans les journaux télévisés probablement afin d'éviter l'effet dominos. Mais taire les faits est une façon de renoncer à des débats nécessaires à la remise en marche de l'économie du pays.
Bien évidemment, la crise est un des facteurs de ces violences mais La France traverse aussi une crise identitaire du fait d'une immigration massive revendiquant qui de sa religion, qui de son appartenance à une communauté, qui de sa cause belliqueuse, le pays étant devenu le réceptacle de toutes les réclamations légitimes ou non, ainsi que de tous maux de la terre.
La France subit le revers de médaille de ses droits de l'Homme exigés comme un dû sans contrepartie d'un minimum de respect, de reconnaissance et de loyauté envers notre beau pays, gangréné par la haine des communautés les unes envers les autres et même envers les autochtones, revers de la médaille mettant en évidence un multiculturalisme trop important ne partageant pas les valeurs judéo-chrétiennes françaises et européennes quand ce ne sont pas les pressions communautaires faites auprès de l'Etat et des organes de presse.
La pression bien-pensante antiraciste et utopiste a fait que la France n'est plus libre de ses décisions, de son destin... pour le moment...
