Capture d'écran-montage
Marine Le Pen, et pour la deuxième partie, Jean-Luc Mélenchon étaient les invités de "Parole de candidat", le rendez-vous politique a fait un carton pour cette soirée présentée en direct sur TF1 par Laurence Ferrari.
L'émission prochaine et la dernière de la série sera consacrée à Nicolas Sarkozy, le candidat...
En attendant l'organisation de vrais débats avec TOUS les candidats du premier tour...
Cette fois encore, les journalistes, comme ceux "Des Paroles et des actes", n'ont pas réussi à faire preuve de professionnalisme, uniquement pour Jean-Luc Mélenchon, avec sa gauche soi-disant plus fréquentable et ses violences verbales et physiques répétées.
Si la candidate à la préisdentielle se sent à laise avec les "vraies, gens", Laurence Ferrari ne daigne pas lui serrer la main alors qu'elle le fait pour le candidat du Front de gauche.
Michel Field, toujours égal à lui-même, paraît fier de son coup du bal de Vienne auquel Marine Le Pen participé et se fait, malheureusement, "remballer par son alter-égo, Jean-Luc Mélenchon.
Les questions posées ont cinglantes et l'on peut lire la haine à peine dissimulée de Françoise Fressoz, journaliste au Monde qui se fait aider d'un autre "contradicteur"avec, en face, une Marine Le Pen qui fait semblant de rien voir.
Des lors, la question qui se pose est de savoir si l'on continue avec cette France-là, cette haine même distillée par des journalistes incapables de faire leur travail correctement.
Les Français ne peuvent, évidemment, se satisfaire d'une campagne comme celle-là avec une information guidée par la haine.
On comprend mieux pourquoi la France va si mal surtout si tout le monde est incapable de se maîtriser.
Si la télévision est le miroir de la rue, ambiance...
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