
Et pourtant, l'entreprise tourne bien. Pour sensibiliser sa profession et ses clients à sa situation, Mme Rauscher a entamé une grève de la faim depuis le 16 février. Une épreuve physique et psychologique pour la bouchère. Depuis, une pétition plaidant sa cause a été signée par 300 personnes, et un comité de soutien a été créé.