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Le tandem Ruqier-Barma « bobo » en campagne sur le PAF
Bobo : Bourgeois-Bohème qui idéalise un modèle de société alors qu'il n'est jamais confronté à la dure réalité socio-économique, le bobo se complait dans l'invective tant que sa position dominante et influente le préserve des difficultés de la réalité citée plus haut.
Marine Le Pen vs. Laurent Ruquier : la guerre totale est déclaréeest l' « oeuvre » ou manoeuvre d' un journaliste pas vraiment de droite, et c'est un euphémisme, qui, comme certains autres de ses collègues, n'a pas évolué malgré la crise ;peut-être fait-il partie de toutes ces personnes campant sur des positions sans jamais varier qui font s'interroger sur un terrorisme intellectuel récurrent, développant, assénant toujours les mêmes idées dont on pourrait se demander si elles sont vraiment utiles aux débats...
L'article ferait presque oublier les problèmes de fond quand il fait du buzz pour ce non-évènement,alors que les journalistes jouent la même tragi-comédie que les politiques ( lire : Usine au Maroc: un secret bien gardé)
C'est cet article qui m'a décidée à rédiger le mien dont je repoussais l'échéance par réticence à écrire sur des personnes qui ne méritent pas, selon moi, que l'on s'attarde sur leur cas tant on se demande, parfois, comment certaines de leurs plates réflexions ont réussi émerger malgré un vide sidéral s'intensifiant au fil des émissions.
Mais je le fais afin souligner l'omniprésence de l'animateur imposant sa productrice en même que leurs idées communes dans des émissions « grand-public ».
A l'aune de la présidentielle, journalistes et animateurs sont en campagne préparant les Français à une bipolarisation UMPS PS, droite-gauche, ne laissant plus vraiment la liberté de penser ni le choix aux électeurs.Bien que les méthodes soient de plus en plus répandues sur les chaînes privées, les chaînes publiques et notamment France 2 devraient être plus vigilantes sur les propos des amis de Ruquier prêchant la bonne parole de leurs amis de gauche lors d'émissions de grande écoute.
La candidate à l'élection présidentielle devrait utiliser ce temps de parole de manière plus constructive puisqu'"En aucun cas le CSA ne lui (ndlr : Ruquier) a demandé de fixer un temps de parole. S'il veut une belle image, s'il veut un compteur, c'est son affaire". Elle n'est donc pas obligée de passer chez Ruquier, elle peut demander une autre grille d'intervention afin de combler ce temps de parole.C'est le CSA qui décompte le temps de parole et non l'animateur avec une grosse tête faisant perdre le sens des réalités...
Si la présidente du Front National veut régler ses comptes, ce serait fort dommageable pour son image. De plus, elle ferait exploser les compteurs de l'audience de l'émission et étant donné la conception de la démocratie de ses hôtes, qu'elle ne s'y rende pas serait une belle leçon d'humilité pour eux. De plus, certains téléspectateurs de « ONPC » sont aussi du Front National, à force de vouloir « jouer » à la politique, on finit par flinguer une audience...
Je précise que je ne voterai pas pour pas pour Marine Le Pen mais, comme je me considère comme une véritable démocrate, je n'accepte pas qu'elle soit empêchée régulièrement par de basses manoeuvres quand ce ne sont pas des violences à son encontre.
La télévision façon Ruquier-Barma ressemble-telle à la société française -ou vise versa- ?
C'est que l'on essaie de nous croire en tentant de contaminer l'esprit des téléspectateurs par des jeux de mots de mauvais goût ou des idées imposées par le tandem bourgeois-bohème.
Catherine Barma provoque de l'inquiétude par ses « j'ai pas compris » sur certains sketches de « Non n'demande qu'à rire » démontrant le niveau d'analyse et de compétence en la matière.
A ce propos, Jean Benguigui n'est toujours pas drôle, cela ne s'arrange pas. Jean-Luc Moreau, bien que souvent juste dans ses notes et ne donnant pas envie de rire non plus, est devenu cinglant au contact de ses collègues.
Le climat est souvent glacial sur un plateau où les téléspectateurs voudraient se détendre un peu après une journée de travail, sinon de tracas...
Seuls Alex Métayer et Isabelle Mergault, de vrais humoristes, trouvent toujours les mots pour ne pas heurter les candidats qui osent venir se faire « engueuler » à une heure de grande écoute.
Ce qui rappelle cette télé-réalité que ne cesse de dénoncer le tandem bobo n'hésitant pas à se servir des humoristes par des thèmes imposés sur le sujet afin qu'ils vomissent pour eux cette conception de la télévision.
Les sketches sont notés de manière aléatoire, à la tête du client, selon l'humeur du jury ou de leurs affinités ou ressentis des thèmes abordés.
On se fiche pas mal de savoir que Benguigui ou Barma n'aiment pas ceci ou cela, c'est la technique, le jeu, l'élocution, l'écriture qui doivent être notés.
Qu'ils continuent leur petite tambouille, l'émission ne fera pas long feu.
Dommage pour ces humoristes de talent qui s'essoufflent à force de renier leur propre jeu de scène pour pouvoir plaire à un jury capricieux.
C'était mon petit clin d'oeil aux humoristes que j'ai soutenus l'année dernière et dont j'espère que cet article fera revenir un peu d'humanité dans cette émission qui ne fait plus vraiment rire.
Oui, « On n'demande qu'à rire », ce qui ne sera pas facile si les règles ne sont pas changées...
Ps : je me suis permise de rédiger cet article sur le ton de l'humour avec autant de mauvais goût que le ferait Ruquier..
Oui, l'humour prôné par l'animateur étant de taper sur les autres finira bien par faire nous faire sombrer dans des comportements rappelant ceux du film "Idiocracy"...
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