Par Benoît Rayski
Darwin a interrompu ses recherches bien trop tôt. En étudiant certains comportements en Irak, en Syrie et ailleurs, des savants ont découvert un chaînon essentiel de l’histoire de l’espèce humaine.
"L’homo
islamistus" est un personnage singulier sur lequel s’interrogent
ethnologues et archéologues. Si l’on en juge d’après ses tous récents
signes d’existence, il succède chronologiquement à "l’homo sapiens".
Mais à observer ses mœurs, ses habitudes et surtout son QI, il le
précède de loin. En antériorité, il bat même "l’homo erectus" car des
spécialistes ont noté qu’il passait beaucoup de temps prosterné face
contre terre.
"L’homo
islamistus" se manifeste, entre autres, par une extrême cruauté. Il
massacre, décapite, viole et réduit en esclavage des espèces auxquelles
il dénie le statut d’être humain. Mais ça ne suffit pas vraiment à le
distinguer de "l’homo sapiens" qui a su montrer quelques prédispositions
au meurtre et à la sauvagerie. Ce qui n’enlève rien à "l’homo
islamistus" passé expert en barbarie. Sa spécificité – qui n’appartient
qu’à lui seul – est toute autre.>>> Lire la suite sur Atlantico