Revivez la Manif du 24 mars en vidéo
Une mobilisation historique, supérieure à celle du 13 janvier dernier. 1,4 millions de manifestants sont descendus dans la rue pour dire non au "mariage pour tous". Une belle réussite malgré un gouvernement qui avait tout fait pour la saboter.Hervé Mariton, Député de la Drôme, explique les difficultés auxquelles ont été exposés les organisateurs :
Voir les vidéos des "débordements" de La Manif pour tous (en remerciant le Salon Beige).
Une autre démontrant bien le travail de sabotage de la part du gouvernement :
Des débordements en marge de la manifestation... par BFMTV
Certains manifestants de droite et sympathisants de la "Manif pour tous", qui admiraient le courage des forces de l'ordre au quotidien, se sont réveillés avec la gueule de bois de les voir incapables de mettre de l'ordre, justement, sur le territoire mais capables de gazer des familles paisibles, enfants et personnes âgées. Les autorités ont réagi sans prendre de gants sachant que la France des bien élevés ne déclencherait pas d'émeutes... "Eux, on peut les humilier, ils ne broncheront pas..."
A quel moment, les forces de sécurité savent-elles qu'elles doivent refuser d'obéir surtout lorsque les manifestants d'en face sont des personnes tranquilles, avec pour unique revendication la famille avec un père et une mère ?
Les forces de l'ordre auraient-elles perdu leurs couilles en même temps que leur discernement ?
Ont-elles été choisies selon certains critères ou spécialement briffées pour l'occasion ?
Est-ce la foule mal gérée par le ministre de l'Intérieur qui aurait fait paniquer les forces de l'ordre ? Elles sont faites d'êtres humains avant tout, on peut les comprendre mais ne surtout pas les excuser.
Manuel Valls ne veut pas s'excuser pour avoir causé ce désordre, les forces de l'ordre sont donc comprises mais pas excusées non plus, le ministre de l'Intérieur encore moins pour des calculs politiciens.
Sur ce mariage homosexuel, qui n'était pas un sujet prioritaire, vont venir se greffer d'autres revendications, le mécontentement se généralisant.
Avec un président, mal élu, au plus bas dans les sondages, le gouvernement espère mettre au pas 70 % de la population. Comment appelle-ton cela déjà ?
Sur le sujet :
Des familles bien élevées, mais fatiguées, voire excédées… Relayé par Vos Tribunes à la Une
