Le caporal Alexandre Van Dooren du 1er régiment d'infanterie de Marine d'Angoulême (photo Le Figaro) |
Le Mali, dont on ne sait pas qui tire réellement les ficelles des marionnettes islamistes, est le symbole de ces guerres archaïques au nom d'un Dieu qui ne reconnaît sûrement pas ce genre d'ouaille.
Cependant, le Qatar et l'Arabie saoudite ont des tentacules financières leur permettant d'oeuvrer dans l'ombre et de pratiquer un double langage à la Tariq Ramadan, dans un excellent Français pour mieux embobiner ces naïfs d'Occidentaux incapables de se tapir dans l'ombre pour mieux frapper. L'Occidental est encore un barbare, il tape avant de réfléchir contrairement à ses "amis" arabes beaucoup plus sournois.
François Hollande, incapable de sortir la France du bourbier économique, ajoute le bourbier malien ; il a manqué, une fois de plus, de réflexion comme si la cote de popularité était plus importante que la vie d'un soldat et prouvant ainsi quelle valeur il donnait aux "siens".
La gestion de la neige, prévue par Météo-France depuis une semaine, celle de l'insécurité, celle de la crise qu'il était censé avoir préparé depuis au moins cinq ans avec la gauche, celles du Mali et de la Syrie prouvent que ce président ne sait pas où il va. Les Français doivent avoir un sentiment encore plus important d'insécurité globale devant tant d'impréparation et d'improvisation à l'image de son mandat.
On espère que la mort d'Alexandre Van Dooren, 24 ans - et celle des autres soldats, en pensant aux blessés- ne sera pas inutile, auquel cas, la cote d'impopularité de François Hollande se transformerait en rancoeur contre un président élu par défaut...
- Un cinquième soldat français est tombé dans la guerre au Mali entamée depuis le 11 janvier dernier. Selon un communiqué de l'Élysée publié dimanche, le caporal Alexandre Van Dooren du 1er régiment d'infanterie de Marine d'Angoulême a été tué dans le massif des Ifoghas, près de la frontière algérienne.
- «C'est alors qu'il participait à une mission de fouille et de destruction de caches terroristes au sud de Tessalit», que le caporal «a vu son véhicule exploser sur un engin ennemi», a indiqué le ministre de la défense, Jean-Yves Le Drian. Trois autres soldats français ont été blessés dans l'explosion, dont «deux assez sérieusement», a précisé Le Drian. Les blessés ont été évacués dans un premier temps vers l'antenne médicale de Tessalit, et devaient être transférés rapidement à Bamako. >>> Lire la suite
- Le lieutenant colonel Patrick Martini qui est le numéro deux du régiment d'infanterie de marine auquel appartenait ce jeune soldat précise qu'il avait déjà effectué trois missions extérieures, qu'il avait un "gros potentiel" et "d'énormes qualités de militaire du rang". Mais qu'il connaissait les risques de la mission sur ce terrain compliqué du Nord-Mali. Lire la suite sur France Info
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