Mali : le jihadiste Djamel avait servi dans la police française

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C’est un témoignage rare, car le sujet est sensible. Sonia*(NDLR : le prénom a été changé), la sœur d’un jihadiste français arrêté il y a quelques jours dans le nord du Mali, a décidé de sortir du silence. Révoltée par le comportement de son frère, elle confie sa colère et son incompréhension. Djamel, 37 ans, a été arrêté les armes à la main par l’armée française.
Au terme d’un parcours étonnant. Car avant d’aller combattre aux côtés des islamistes du Mali, il a servi dans les rangs de la police nationale française. >>>A lire sur Fdesouche 

NDLR : combien encore servent dans les forces de l'ordre et dans l'armée ?
 D'après nos sources vérifiées, un certain "Jihad" devrait intégrer la Gendarmerie d dans les prochaines semaines afin de suivre une formation de sous-officier. La France peut-elle prendre de tels risques après l'affaire Merah et celle du Mali.
Ces personnes ne vont-elles pas se retourner contre nous si elles deviennent majoritaires ?
La politique du gouvernement est de tendre la main en naturalisant afin de mieux intégrer : deux exemples d'échec avec Merah et ce "jihadiste" Franco-malien.
Les forces de l'ordre et l'armée ne devraient jamais accepter une personne à double nationalité (à la Légionnaire), on est Français ou pas surtout dans des services qui nécessitent un engagement sans faille.
La double nationalité du Franco-malien lui permettra un traitement de faveur en France avec une justice prônant la culture de l'excuse ; au Mali, la sentence aurait été plus dure (et encore, les Maliens sont timides pour choisir entre religion et démocratie) et le gouvernement est quasi inexistant. C'est donc la France qui devra payer "l'hébergement", en prison, avec télévision câblée de cet islamiste.

Relayé par Vos Tribunes à la Une