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18 décembre 2012

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Koblenz, lieu de refuge des émigrés de la révolution, est-elle maintenant en Belgique ?

Une nouvelle génération d’émigrés fuit-elle la guillotine fiscale installée sur l’échafaud socialiste ? L’exil belge de Gérard Depardieu pose, au-delà de la question morale, la question de la surcharche pondérale fiscale de notre Obélix national, 85% d’impôts en 2012 et 145 millions d’euros d’impôts en quarante-cinq ans.

 Au-dessous des grandes déclarations patriotiques, n’existe-t-il pas aujourd’hui deux catégories de citoyens, les soumis et les insoumis au matraquage fiscal ? Les immolés qui subissent, souffrent, et les ignifugés qui se cassent, pour fuir le brasier des impositions.

De fait, ils laissent les autres dans la merde. Mais dans la merde on y est ! D’autres avant Depardieu ont pris la poudre d’escampette : Aznavour, Delon, Noah, revenu depuis, Hallyday, Clavier… Un pays d’où s’enfuient les riches est un pays perdu. Restent les pauvres, les assistés, les subventionnés, les petits riches, les petits entrepreneurs, les exsangues, les imposés, les enchainés. Ce pays devient un pays attractif comme un contrôle fiscal. C’est le mauvais signe. Mêmes les petits entrepreneurs s’escampent. L’élément déclencheur, selon le Parisien, a été l’élection de Hollande, l’anti riche.


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