Un policier de la
brigade anticriminalité (BAC) de Montpellier (Hérault) a été grièvement
blessé, dans la soirée du lundi 5 novembre, lors d'un contrôle au
Petit-Bard, une cité sensible de la ville.
"Quatre
fonctionnaires d'un équipage de la BAC ont voulu procéder à un contrôle
d'identité de routine, lorsqu'un groupe de jeunes s'est formé et les a
rapidement encerclés", a expliqué l'état-major de la direction départementale de la Sécurité publique (DDSP) de l'Hérault.
"Tout
a dégénéré, les trois policiers ont été malmenés, deux ont pu se
dégager pour demander des renforts par radio, mais le troisième a été
tabassé", a ajouté cette source.
Le policier a été transporté
à l'hôpital, pour subir une opération du genou. Ses jours ne sont pas
en danger mais il s'est vu signifier une interruption totale de travail
(ITT) de 90 jours.
"Aucune arme n'a été utilisée", selon
l'état-major de la DDSP. Une source policière précise qu'un suspect de
18 ans a été interpellé et placé en garde à vue, mais l'agresseur du
policier est toujours en fuite.
NDLR : la version officielle médiatique indique "Aucune arme n'a été utilisée", selon
l'état-major de la DDSP."
Pour les pro, une triple facture
du tibia "sans arme" paraît étrange, à moins que l'auteur des coups ne
soit un habitué des arts martiaux, ou arme dissimulée...
Or, ces policiers encerclés n'ont pas usé de leur arme pour se protéger -alors que la loi stipule qu'ils peuvent l'utiliser dans de tels cas-, pas défense avec leur bâton télescopique, flash-ball ou taser, pourquoi ? Avaient-ils seulement le matériel ou craignaient-ils de se voir accusés par les médiatico-politiques et la justice avant même de donner des explications ? Si tel est le cas, c'est que la France est vraiment malade, au bout du rouleau démocratique...
De plus, avec un Ministre de l'Intérieur menant le double langage d'un Tariq Ramadan et une Garde des Sceaux en empathie avec les "victimes" injustement condamnées, ces agressions devraient être en progression si le gouvernement et ces deux ministres ne se montrent pas plus fermes.
Le gouvernement joue avec le feu, il attend la surenchère afin de démontrer que les "méchants" sont bien à droite. Or, cette idéologie a vécu, les Français savent bien qu'un pays ne peut avancer que s'il est uni. La gauche créée des divisions depuis longtemps par le biais de ses associations antiracistes et ses syndicats politiques.
Ce gouvernement, avec, à sa tête, un président élu par défaut ne devrait pas tenir longtemps avec ce genre de procédé, les Français découvrant leur pays en décomposition malgré la censure, les dépêches AFP, entre autres, orientées et manipulées.
L'ambiance de la France est lourde, le temps semble suspendu en attendant l'orage...
Les agitations autour d'un rapport Gallois n'y pourront, hélas, rien...