L'arrêt de la Cour de cassation devrait entraîner la tenue d'un nouveau procès en correctionnelle pour non-assistance à personne en danger.
La Cour de cassation a annulé mercredi le non-lieu qui avait été
prononcé en faveur de deux policiers dans l'enquête sur la mort de deux
adolescents en 2005 à Clichy-sous-Bois
après une course-poursuite avec la police et un contrôle d'identité qui
avait mal tourné. L'affaire est renvoyée à la cour d'appel de Rennes
pour être rejugée. Elle devrait désormais déboucher sur un procès en
correctionnelle des deux policiers pour non-assistance à personne en
danger. Lire la suite sur lefigaro.frL'affaire de trop ou pourquoi on a le sentiment d'être pris pour des cons...
Selon Capital, un événement sans précédent dans l'histoire moderne du pays.
Le gouvernement joue avec le feu, provoque, teste les "nerfs" des Français.
La France est aux règlements de compte. Ces policiers seront donc livrés en pâture et ils ne devraient être les premiers d'une longue liste. Pour information, les polices du monde entier ne sont jamais bisounours et incompétentes et ne le seront jamais ; si c'est l'intention de ce gouvernement de les "dresser" à son image, c'est peine perdue. De plus, ce ne sont pas les déclarations ou actes de Manuel Valls pour montrer qu'il est à l'oeuvre qui rassureront les Français. La réalité cachée est plus cruelle.
Pourquoi soupçonne-t-on, dans la décision de la Cour de Cassation, la griffe de la Garde des Sceaux poursuivant sa quête de vouloir libérer les victimes de la société injustement condamnées.
Les pauvres victimes la société emprisonnées injustement veulent casser du flic et Christiane Taubira, très discrète, exauce leurs voeux, tire les ficelles d'une justice qui appelait ne pas voter Sarkozy pendant la présidentielle.
La justice, comme les médias, est très à gauche, c'est d'ailleurs pour cette raison que les "victimes" récidivistes se croient tout permis en essayant d'envoyer ces sales flics en taule. Drôle de démocratie (?) apaisée. Il pourrait y avoir des démissions au sein de la police, c'est que souhaiterait ce gouvernement mais les agents doivent tenir le coup car leurs remplacements seraient pour une gentille police permissive qui ne connaîtrait plus de frontière avec la corruption. Les "impies" doivent rester coûte que coûte malgré la grande lessive qui a commencé.
Pour l'heure, des policiers risquent (encore) la prison pour avoir fait leur métier.
Le plus étonnant, c'est que cette affaire ressorte des tiroirs maintenant comme si un chantage avait été mené. Drôle de sensation... Achèterait-on (encore) la paix sociale en sacrifiant des policiers ?
Drôle de pays délétère où les policiers doivent justifier leurs arrestations, leurs faits et gestes...
En revanche, personne ne s'inquiète de certains magistrats véreux car ils votent à gauche...
Quant aux médias, subventionnés par l'Etat (les Français), ils ne parlent plus que du sexe des anges quand ce n'est pas du mariage homosexuel avec adoption, devenu une priorité pour cacher la misère sociale d'une économie en déclin et un chômage à son plus haut niveau.
Il est même rappelé aux journalistes de ne pas évoquer "couacs" ou de cesser le Ayrault bashing alors que des milliers d'emplois sont détruits chaque mois. De quoi amuser le peuple...
Il est permis de taper sur Marine Le Pen mais les Français sont aux aguets pour la défendre même si les médias commencent à comprendre que les vrais "ennemis" ne sont pas ceux que l'on pense...
Entre une justice très à gauche et des médias aux ordres, la torpeur du pays rappelle le modèle chinois où tout est muselé pour éviter les émeutes.
Mais la France n'est devenu qu'un petit pays gouverné par un président le plus mal élu de la Vème république, commettant les mêmes erreurs de favoritisme (le fil est tenu avec le mot corruption) et dont personne ne veut de la politique, à part une poignée d'utopiques et lobbyistes.
La "démocratie" française est à bout de souffle, fragile et corrompue, de quoi faire souffler un vent de révolte venant d'une droite qui aime, cependant, l'ordre et la discipline.
La France sombre dans la haine et la division distillées par une gauche qui se révèle par son désordre intellectuel, figée dans les années 80 avec les mêmes idées surréalistes sans anticipation pour les générations futures...
C'est au gouvernement, malgré ce désordre intellectuel puisqu'il a eu dix ans pour préparer la riposte au chômage, de prendre ses responsabilités en se retirant... alternative préférable au chaos à venir... Ce serait le vrai changement...
