Une "liste d'associations israélites" aurait été découverte lors des perquisitions, ainsi que des testaments, samedI 6 octobre. |
Ou le retour du bâton d'une immigration imposée aux Français et mal "choisie".
Onze personnes ont été placées en garde à vue, samedi 6 octobre, après un coup de filet dans les "milieux djihadistes". Le matin, un suspect a été tué lors d'une tentative d'interpellation par les policiers, à Strasbourg (Bas-Rhin). Le procureur de la ville, Patrick Poirret et celui de Paris, François Molins, ont chacun tenu une conférence de presse pour faire le point sur l'enquête.
Les confrères de France 2 Dorothée Olliéric et Nicolas Auer font le récit de ce coup de filet mené à l'échelle nationale. Lire la suite sur France TV Info
Agé de 33 ans, l'homme tué à Strasbourg lors de l'opération antiterroriste était connu des services de renseignement avant son implication dans l'attentat de l'épicerie casher de Sarcelles. Très déterminé, il voulait «probablement finir en martyr».
L'homme abattu samedi matin à Strasbourg dans un échange de coups de feu avec des policiers venus l'interpeller était l'auteur présumé d'un attentat à la grenade contre une épicerie juive de Sarcelles. L'empreinte ADN du suspect, identifié sous le nom de Jérémie Louis-Sidney, a été retrouvée sur la cuillère de la grenade défensive lancée le 19 septembre dans le commerce de produits casher, a indiqué le procureur de Paris, François Molins. Ce sont ces traces qui ont permis de remonter le réseau cible du coup de filet opéré ce samedi à Torcy, en Seine-et-Marne, à Cannes et à Strasbourg. Jérémie Louis-Sidney en était «l'objectif principal», a indiqué le patron de la Direction interrégionale de la police judiciaire (DIPJ), Christophe Allain.
Né à Melun en 1979, l'homme était connu depuis le printemps dernier par les services de renseignement. Condamné à deux ans de prison à Grasse en 2008, dans une affaire de trafic de drogue, il a été identifié par la DCRI comme un «délinquant converti à l'Islam radical», «appartenant à un groupe soupçonné de vouloir rejoindre les terres du djihad», selon les termes du procureur. Français d'origine antillaise, il était domicilié à Cannes, selon une source proche de l'enquête, qui précise que son appartement a été perquisitionné. C'est chez l'une de ses deux «épouses religieuses» où il séjournait depuis mercredi, à Strasbourg, que le trentenaire a été retrouvé par les enquêteurs, a précisé le procureur.
Déterminé, il avait déjà écrit son testament
Armé d'un magnum 357, il a immédiatement ouvert le feu sur les policiers. «Il était très déterminé et a vidé le barillet» de son arme, blessant un policier au thorax, a indiqué François Molins. De son côté, le procureur de Strasbourg a dit sa conviction que Jérémie Louis-Sidney voulait probablement «finir en martyr», prenant pour signe le fait qu'il s'était rasé la barbe depuis son arrivée à Strasbourg. Un testament a été retrouvé chez lui, signe selon les enquêteurs qu'il était prêt à tout. «On savait qu'il était dangereux», a complété le patron de la DIPJ, ajoutant que les policiers pensaient pouvoir l'interpeller sans violence grâce à une «minute de surprise» lors de l'intervention matinale.
Son profil peut-il être comparé à celui de Mohamed Merah, auteur des tueries de Toulouse et Montauban en mars dernier? A la différence de ce dernier, Jérémie Louis-Sidney ne s'était jamais rendu à l'étranger pour combattre ou profiter d'un entraînement au djihad. «Il y a un point commun, c'est la radicalisation rapide de gens qui s'étaient signalés sous des profils de droit commun», note le procureur de Paris, qui s'est également occupé de l'affaire Merah. Comme Jérémie Louis-Sidney, le tueur de Toulouse avait été condamné pour des faits de petite délinquance avant de commettre des actes à caractère terroriste. lefigaro.fr
Mohamed Merah a révélé un nouveau visage du terrorisme, lisse, jeune, très "intégré", Jérémie Louis-Sidney, "délinquant" devenu criminel, est un des nombreux convertis à l'islam, manipulés par des "religieux" les plus durs et les plus sournois car ils se fondent dans la société et souvent présentés comme de "bons" musulmans... obligés d'aller à la mosquée pour être reconnus comme tels...
On ne peut qu'éprouver de la colère envers les gouvernements successifs qui ont fait entrer une immigration incompatible avec les valeurs françaises et occidentales et sous la pression de l'Union européenne utopique et avide, voulant faire baisser le coût du travail.
Nos dirigeants sont faibles et soumis, a contrario du peuple français lucide qui se bat pour survivre à l'austérité, aux inégalités privilégiant cette nouvelle immigration naturalisée qui ne veut pas des lois françaises préférant se revendiquer musulmane plutôt que Française.
D'aucuns, plus dictateurs que fédérateurs, crieront au racisme, au nom d'un vivre ensemble qui n'aboutira pas au vu des trop nombreuses communautés faisant reculer dans les campagnes, quand ils le peuvent, les anciens Français, y compris ceux de l'ancienne immigration européenne.
Quant à nos musulmans "français", ils sont souvent très modérés vis à vis des islamistes, ils ne les condamnent pas vraiment. Les organisations font, certes, des déclarations mais elles sonnent faux, les non musulmans ne les croient donc plus. Voir la vidéo : Quand Valls demande des applaudissements pour la condamnation de l'islam radical lors de l'inauguration de la nouvelle mosquée de Strasbourg
Aujourd'hui, on a envie de pleurer devant tout ce gâchis au nom de l'appât du gain, sans une once d'humanité, livrant les nôtres aux fous d'Allah menant la guerre sainte contre les juifs sur notre territoire, une guerre et une haine qui ne devraient pourtant pas dépasser les frontières mais l'islam ne reconnaît aucune frontière, ce qui explique le jihad permanent, même en France....
Dans le monde entier, des chrétiens sont aussi chassés, égorgés au nom d'Allah et Mahomet, son prophète.
Colère et tristesse se mêlent de voir les "nôtres" emmenés dans cette folie "religieuse". Les anciens français se sentent abandonnés, désemparés devant l'imposition d'une religion très sectaire dont ils ne veulent plus dans leur pays...
Tout ce que la France apporte à l'islam est insuffisant, les revendications s'amplifiant ; il leur est accordé le droit de manifester pour le port du voile intégral, contraire à la liberté des femmes si chèrement obtenue, quand les autochtones se voient interdire de défiler contre l'islamofascisme gangrénant la France et le monde.
Les anciens Français sont désormais les mauvais Français, méchants, intolérants, racistes, "faisant des amalgames", et toujours montrés du doigt par une minorité, aidée par les associations antiracistes haineuses, voulant imposer une dictature de la pensée mais aussi un mode de vie dont ils ne veulent plus. A leur tour, ils peuvent revendiquer le fait qu'ils "étaient là avant", leur patience ayant atteint les limites du supportable.
Les anciens Français ont observé pendant des années respectueusement, et ce qu'ils voient ne leur plaît pas, ils ne se sentent plus en sécurité dans leur propre pays. L'islam radical s'empare des êtres les plus fragiles et ils sont incapables de les protéger à cause de technocrates utopiques, naïfs et souvent avides...
C'est au peuple français de choisir son immigration et non à des politiques faisant leurs coups en douce sous la houlette de l'Union européenne, l'usine à gaz que l'on ne présente plus et qui ne représente que des dirigeants soumis et non les peuples.
Mais le mot islam ne veut-il pas dire soumission ?
Relayé par Vos Tribunes à la Une