Hier, devant le président Thierry
Fourdrigniez, Sarah Cherifi, 19 ans, n'a pas daigné se présenter devant
les juges. Elle avait été libérée le 17 août.
Les faits remontent tout simplement au 16 août. Ce soir-là, en plein centre de Lille, sur le coup de 22 h, une jeune fille est attaquée par trois furies et on lui vole son téléphone portable. Tirée par les cheveux, rouée de coups, aspergée d'un jet de bombe lacrymogène, la jeune victime ne devra son salut qu'à l'intervention d'un couple d'amis, en promenade non loin de là, qui va venir à sa rescousse après ses appels à l'aide. Lire la suite