Les politiques s'accrochent à leurs
sièges au prix de reculades, reniements, langue de bois afin de se
faire élire ou réélire.
La France joue son avenir avec le
nouveau traité européen qui sera présenté aux parlementaires dans
quelques jours et voté par l'UMP et le PS, toujours amis lorsqu'il
s'agit de faire perdre un peu plus de souveraineté à la France,
sans passer par le référendum, réclamé depuis le début de l'été
par Marine Le Pen et le Front National-Rassemblement bleu Marine.
Au vu des futures mesures
catastrophiques du gouvernement socialiste, les politiques et médias
se mettent déjà en mouvement pour préparer la relève et, ce,
après quatre mois d'errements, de commissions multiples avec peu de
réelles initiatives - uniquement fiscales ponctionnant toujours un
peu plus les Français- pour le redressement de la France après dix
ans dans l'opposition...
Pas de véritable programme venant d'un
président élu par défaut...
L'incroyable revirement de Jean-Luc
Mélenchon, ayant soutenu le « oui » au référendum de
2005 est des plus suspects ; le président du Front de gauche cherche
surtout à regagner le coeur des ouvriers qui l'avaient abandonné
pour Marine Le Pen, la seule à se battre vraiment pour le peuple
français en demandant ce référendum et par la défense de la
priorité nationale pour l'obtention d'un emploi en ces temps de
crise.
Certains médias, poussés par les amis
politiques, font « monter » Nicolas Dupont-Aignan
favorable à la sortie de la zone euro. L'ancien candidat à la
présidentielle, dont le parti est financé par l'UMP et qui n'avait
obtenu que 1.7 % des voix, ne perd jamais une occasion de faire des
leçons de morale sur les radios et plateaux de télévision. La
« main tendue » à Marine Le Pen est surtout tendue vers
à ses près de 6.5 millions électeurs... ce dont plus personne
n'est dupe.
Nicolas Dupont-Aignan fait l'objet
d'une Mélenchonite médiatique aigüe qui a fortement desservi ce
dernier puisqu'il a été obligé de se mettre « au vert »
de Chavez pendant plusieurs mois.
Nicolas
Dupont-Aignan devrait
redescendre très vite sur terre, les vrais patriotes se trouvant au
Front National-Rassemblement Bleu Marine. Le crapaud, qui veut se
faire plus gros que le boeuf, risque de finir dans la mare, avec les
autres... C'est donc à Nicolas Dupont-Aignan d'aller humblement
vers Marine Le Pen et sans arrière-pensées UMP gauchistes pour le
bien de la France et des Français. Par ailleurs, le temps de parole de
Nicolas Dupont-Aignan est presque aussi important que celui du parti de
Marine Le Pen. Cherchez l'erreur...
Quant à la guerre des chefs empruntant
le langage de vécu du Front National, elle ne vise qu'à séduire
les militants tentés par l'original, désertant l'UMP depuis qu'ils
savent que leurs chefs préférés veulent enseigner l'Arabe à
l'école et, de surcroit, très européistes. Des éléments de
langage empruntés à Marine Le Pen aux actes, il y a un gouffre et
beaucoup ne veulent plus se tromper d' « acteurs »...
Le but de ces rodomontades largement
médiatisées n'ont qu'un but : contrer Marine Le Pen dont 37 % des
Français partagent sa conception de la France et de son avenir.
La panique s'empare donc des
politico-médias, ou inversement, au vu de la constante augmentation
des adhésions au Front National-Rassemblement Bleu Marine, troisième
parti de France, pouvant gêner les projets des (ré)élections
pour certains de 2014 et 2017.
La préférence nationale gêne aussi
beaucoup ceux qui aimeraient plus d'immigration pour faire baisser le
coût du travail ; les prochaines élections risquent d'être encore
plus violentes (comme si la France n'avait pas assez de problèmes) que les dernières, l'intérêt des Français passant
après les places confortables...
Les « Verts », quant à eux, avec 2.7 % des voix à la présidentielle, ayant plus de députés que le troisième parti de France, devraient rougir de leur « non... mais » ou « oui... peut-être » au traité budgétaire...
Tous
les partis cités sont pour une
immigration, hors union européenne, massive au nom de la
« fraternité » utopique et folle à la fois, souvent langue de bois
électoraliste pour la majorité d'entre eux... en temps de crise.
A noter que les pays dont sont issus les immigrés ne tolèreraient pas que l'on « vienne manger leur pain », la réciprocité, concept n'existant que chez les Occidentaux.
A noter que les pays dont sont issus les immigrés ne tolèreraient pas que l'on « vienne manger leur pain », la réciprocité, concept n'existant que chez les Occidentaux.