Communiqué de Presse de Marine Le Pen, Présidente du Front National
Après 5 ans d’échec du gouvernement précédent, Monsieur Valls prétend vouloir juguler l’insécurité en adaptant de désastreuses recettes socialistes par la création de Zones de Sécurité Prioritaires.
Marine Le Pen s’inquiète que seules quelques zones aient retenu l’attention du gouvernement quand c’est toute la France qui souffre d’une insécurité chronique, jusque dans nos campagnes.
La Sécurité doit être une priorité nationale et faire en conséquence l’objet d’une politique nationale.
Concentrer les moyens toujours plus faibles de nos forces de police et de gendarmerie sur quelques places, ne peut que se faire au détriment du reste de notre territoire. Lire la suite
Sur le sujet :
Sécurité. Quartiers sensibles prioritaires : Toulouse n'est pas concerné
Extrait :
À Toulouse, «les policiers sont blessés»
La liste des quinze quartiers prioritaires en matière de sécurité dressée par le gouvernement a provoqué, hier, la colère des policiers toulousains. Didier Martinez, secrétaire régional Midi-Pyrénées d'Unité SGP police explique ce mécontentement.
Comment avez-vous réagi en découvrant cette liste ?
On est stupéfaits. On savait qu'il y aurait une répartition police/gendarmerie et qu'il resterait six places pour la province. On imaginait naturellement que Toulouse serait en première position avec des quartiers tels qu'Empalot, Bagatelle, la Reynerie ou les Izards. Est-ce pire à Amiens qu'à Toulouse ?
Pourquoi, selon vous, Toulouse aurait dû être prioritaire ?
C'est un des sites stratégiques du maintien de l'ordre en France. Quand il y a des violences urbaines, nous sommes les premiers concernés. Plus de 1 000 voitures sont brûlées chaque année dans la circonscription. Ces voitures sont souvent volées, elles servent pour des rodéos, des braquages. Les cambriolages sont en forte augmentation. En matière de car-jacking et de home-jacking, nous sommes à la pointe. Et puis il y a les événements de cette année 2 012 avec l'affaire Merah, les multiples prises d'otage, les mobilisations dans l'urgence d'effectifs de police opérationnels et, pour la première fois, sous le couvert d'un plan Vigipirate écarlate.
Comment se sentent les policiers toulousains aujourd'hui ?
Ils sont surpris, désabusés et déçus. On méritait plus d'attention. C'est heurtant et blessant. Le signal fort qu'il fallait donner c'est placer Toulouse en premier. J'espère qu'on aura des explications. ladepeche.fr
Le syndicat Alliance, 2e chez les gardiens de la paix, a reproché aujourd'hui au ministre de l'Intérieur Manuel Valls une "absence totale de concertation" en amont de la création des premières "zones de sécurité prioritaires" (ZSP). lefigaro.fr
Relayé par Vos Tribunes à la Une Après 5 ans d’échec du gouvernement précédent, Monsieur Valls prétend vouloir juguler l’insécurité en adaptant de désastreuses recettes socialistes par la création de Zones de Sécurité Prioritaires.
Marine Le Pen s’inquiète que seules quelques zones aient retenu l’attention du gouvernement quand c’est toute la France qui souffre d’une insécurité chronique, jusque dans nos campagnes.
La Sécurité doit être une priorité nationale et faire en conséquence l’objet d’une politique nationale.
Concentrer les moyens toujours plus faibles de nos forces de police et de gendarmerie sur quelques places, ne peut que se faire au détriment du reste de notre territoire. Lire la suite
Sur le sujet :
Sécurité. Quartiers sensibles prioritaires : Toulouse n'est pas concerné
Extrait :
À Toulouse, «les policiers sont blessés»
La liste des quinze quartiers prioritaires en matière de sécurité dressée par le gouvernement a provoqué, hier, la colère des policiers toulousains. Didier Martinez, secrétaire régional Midi-Pyrénées d'Unité SGP police explique ce mécontentement.
Comment avez-vous réagi en découvrant cette liste ?
On est stupéfaits. On savait qu'il y aurait une répartition police/gendarmerie et qu'il resterait six places pour la province. On imaginait naturellement que Toulouse serait en première position avec des quartiers tels qu'Empalot, Bagatelle, la Reynerie ou les Izards. Est-ce pire à Amiens qu'à Toulouse ?
Pourquoi, selon vous, Toulouse aurait dû être prioritaire ?
C'est un des sites stratégiques du maintien de l'ordre en France. Quand il y a des violences urbaines, nous sommes les premiers concernés. Plus de 1 000 voitures sont brûlées chaque année dans la circonscription. Ces voitures sont souvent volées, elles servent pour des rodéos, des braquages. Les cambriolages sont en forte augmentation. En matière de car-jacking et de home-jacking, nous sommes à la pointe. Et puis il y a les événements de cette année 2 012 avec l'affaire Merah, les multiples prises d'otage, les mobilisations dans l'urgence d'effectifs de police opérationnels et, pour la première fois, sous le couvert d'un plan Vigipirate écarlate.
Comment se sentent les policiers toulousains aujourd'hui ?
Ils sont surpris, désabusés et déçus. On méritait plus d'attention. C'est heurtant et blessant. Le signal fort qu'il fallait donner c'est placer Toulouse en premier. J'espère qu'on aura des explications. ladepeche.fr
Le syndicat Alliance, 2e chez les gardiens de la paix, a reproché aujourd'hui au ministre de l'Intérieur Manuel Valls une "absence totale de concertation" en amont de la création des premières "zones de sécurité prioritaires" (ZSP). lefigaro.fr