L'UMP ne défend plus le drapeau français depuis longtemps malgré une tentative d'accaparement par Nicolas Sarkozy pour l'élection présidentielle. Depuis les vrais défenseurs de la France sont repartis au Front National, sûrs qu'on ne leur mentira plus.
Comme le Parti Socialiste, l'UMP est une une immense batterie de cuisine politique avec les mêmes casseroles, entre autres... En effet, plus un parti est grand, plus il a de "chances" d'avoir des tentations d'étendre ses tentacules dans les caisses et parfois dans le sexe... comme l'affaire DSK pour le parti Socialiste dont il est toujours "membre", d'ailleurs.
Lorsque le Front National parle de l'UMPS, c'est pour ces raisons mais surtout pour les mêmes méthodes de gouvernance, de vision pour la France dans l'Europe dont les deux partis voteront pur la pacte budgétaire européen soumis au vote des députés mais pas à celui des véritables intéressés : les Français.
La France est classée 29ème au rang des "démocraties imparfaites" et 25ème pour la corruption.
Le monopole de ces deux géants UMP et PS en est une des raisons : ils aspirent les petits partis inféodés -bénéficiant de leur manne financière pour survivre- et dont ils peuvent s'assurer des voix à l'Assemblée nationale mais qu'ils ont réduits au silence, rendant invisible leur véritable ligne politique.
La vie politique s'est crispée, interdisant des débats nécessaire à la France à cause des monopoles de ces géants.
UMP ? Quelles UMPS ?
L'Union pour un mouvement populaire (UMP) était un parti politique français dit de droite (?) , nommé à sa création Union pour la majorité présidentielle en vue de soutenir la candidature du président Jacques Chirac à sa propre succession en 2002. Il est membre du Parti populaire européen, ainsi que de l'Union démocratique internationale, association des partis de centre-droità l'échelle mondiale.
Regroupant le RPRet Démocratie libérale, l'UMP est rejoint à sa création par deux tiers des députés de l'Union pour la démocratie française (UDF). Ce parti cherche donc à être un rassemblement de tendances gaullistes(NDLR : quel gaullisme ?!), centristes, libéraleset conservatrices.
Depuis la défaite en demi-teinte de Nicolas Sarkozy, les dirigeants de l'UMP essaient de comprendre ce qui cloche dans leur parti.
Ils ont d'abord fait rejaillir la faute sur les électeurs du Front National qu'ils exècrent mais dont ils veulent bien les voix mais pas les gueules. Les leaders frontistes de leur faire remarquer qu'ils feraient mieux de regarder du côté de l'aile gauche de l'UMP qui a bien enfoncé le candidat Sarkozy.
Flagrant délit de mensonge
La porte-parole, Nathalie Kosciusko-Morizet, pendant la campagne, a médusé beaucoup de Français en avouant sans vergogne, après les législatives, avoir relayé des idées de Nicolas Sarkozy avec lesquelles elle n'était absolument pas d'accord...
D'autres comme Jean-Pierre Raffarin, Roselyne Bachelot, la ministre du gaspillage des vaccins contre la grippe H1N1, venaient eux aussi dire tout le mal qu'ils pensaient de l'ancien président malgré un cirage de pompes assidu pendant cinq ans.
La liste des personnalités politiques s'adonnant à ce genre d'exploits peu glorieux n'est pas exhaustive au vu des déclarations intempestives des uns et des autres.
"La guerre des chefs" existe bel et bien mais n'en serait pas une selon la version officielle.
Beaucoup se verraient bien à la tête de l'UMP et pour une direction collective, pour certains, les valeurs - s'il y en a- des uns n'étant pas les mêmes que celles des autres. mais pourquoi faire ou dire ?
Le « collectif de la droite populaire », souvent montré du doigt par "ses amis" UMP, a été créé en 2010 en préparation de l'élection présidentielle dans l'optique de faire barrage au Front National, le gêneur ; pour être plus clair, dans le but de siphonner ses voix et rafler, au passage, des adhésions.
Cependant, la droite populaire doit représenter 10 % du parti -et encore en calculant "large"- ce qui veut dire que 90 % de l'UMP a des valeurs de gauche et le même langage -les mêmes insultes- hérités des années Mitterrand mais aussi à force de proximité avec la gauche -donneuse de leçons alors qu'elle devrait balayer devant sa porte, lire Rose Mafia- qui avait voté pour Jacques Chirac, élu grassement à plus de 80 %, élection digne d'un dictateur.
Paradoxalement, le Front National n'avait pas été interdit devant cette mobilisation générale. Pourquoi ? Afin de démontrer que la pseudo droite de Chirac était le nec plus ultra.
Sans élément de comparaison à ces supposés infâmes, l'UMP n'aurait jamais vu le jour...
Fort heureusement, les Français ont compris qu'on les baladait depuis des années, qu'une immigration non maîtrisée menaçait leurs emplois et leur culture, que la perte de souveraineté, validée par l'UMP et le PS, décidée par des technocrates européistes non élus, ne leur permettait plus d'arrêter les délocalisations vers des états européens à la main d'oeuvre moins chère.
Ne pas vouloir de la zone euro n'est pas un repli sur soi comme les médias et politiques l'ont répété à l'envi, lavant le cerveau de quelques uns acceptant la sainte parole des dirigeants.
Le commerce intelligent et les bonnes relations avec les autres pays peuvent exister sans faire partie d'une Europe coûtant plus cher aux français qu'elle ne rapporte.
La prise de conscience s'est faite lentement jusqu'à ce que les électeurs claquent la porte de l'UMP, aussi insultante et antidémocratique que son jumeau, le Parti Socialiste, et décident de mener le combat pour la France bradée par les politiques qui ont décidé de l'abandonner sans livrer bataille, plus soucieux de garder leurs sièges dorés que du sort des Français.
L'UMP et le PS voulant garder leur monopole, avec l'aide de l'extrême-gauche, ont décidé de mettre, une nouvelle fois, au ban de la société, des millions d'électeurs qui ont mal voté, selon eux, ignares qu'ils seraient et qui devraient "entrer" dans le giron républicain, dans le but de gagner plus d'adhérents rapportant un plus d'argent dans leurs caisses...
Quel tribunal, quels juges ont-ils décidé qui devait ou pas être en dehors de la République si ce n'est les mêmes ?
Lorsqu'elles voient toutes les magouilles pour garder le monopole, les personnes sensées préfèrent rester en dehors de ces faux démocrates, allant à la soupe et se gavant sur le dos des Français sachant que leur tour d'être enfin entendus est proche.
Après des années de débats interdits, censure et mensonges et accessoirement insultes, la France va, cette fois entrer dans l'austérité, pour ne pas tomber en récession, s'il elle y échappe...
Parfois, la colère monte devant l''irresponsabilité de tous ces dirigeants devant ce gâchis mais l'heure n'est pas à la confrontation, la situation est trop grave.
La colère monte aussi lorsque des sympathisants ou militants UMP « malmènent » les Front National-RBM, récitant des chapelets d'insultes ou de clichés que leurs dirigeants leur ont appris.
La haine a été entretenue par les mêmes pendant des années contre des millions de personnes se conformant aux lois, des patriotes, des invisibles, ceux-là mêmes qui ont décidé de hisser fièrement l'étendard tricolore, sans plus aucune honte, le fait étant devenu « raciste » pour certains donneurs de leçons.
La France a été abandonnée à des hordes de barbares qui intentent un procès dès lors que le drapeau est brandi en guise de protestation.
En dix ans, le socle des symboles français a doucement glissé vers une idéologie de gauche sans que personne n'y prenne garde, à part le Front National.
L'UMP aura beau faire son examen de conscience, une décennie ne suffira pas à balayer des éléments de langage imprégnés depuis si longtemps dans les mémoires...
Quant à la gauche, elle est devenue l'extrême-gauche par ses valeurs utopistes, désormais inadaptées à la société française et, ce, malgré des discours ne flattant que la fausse droite UMP.
La vie politique se recompose, se rééquilibre.
Le Front National est bien la droite avec ses vraies valeurs : l'ordre, l'honneur, la patrie, l'intégrité, l'instruction, l'éducation, la famille, le respect, la véritable laïcité et non celle des concessions privilégiant une religion émergente, voyante et bruyante.
Et il serait facile de citer d'autres valeurs...
En revanche, l'UMP, en recherche désespérée de repères communs à toute la « famille » n'a pas encore compris qu'elle a remplacé le Centre de Valéry Giscard d'Estaing, l'UDF.
Le Parti Socialiste, quant à lui, s'est décalé plus à gauche sous couvert de mots séduisants pour plaire à son amie UMP et ignorant les électeurs du Front National.
Des élections ont lieu en 2014, gageons que les Française hisseront le drapeau tricolore du Front National afin que cessent ces monopoles asphyxiant les autres partis, la politique française et la démocratie.
Que les Français n'hésitent plus à montrer leur reconnaissance et leur loyauté envers leur pays afin de le remettre sur pied pour leur devenir, la situation est trop grave pour ne pas se mobiliser.
Relayé par Vos Tribunes à la Une
Comme le Parti Socialiste, l'UMP est une une immense batterie de cuisine politique avec les mêmes casseroles, entre autres... En effet, plus un parti est grand, plus il a de "chances" d'avoir des tentations d'étendre ses tentacules dans les caisses et parfois dans le sexe... comme l'affaire DSK pour le parti Socialiste dont il est toujours "membre", d'ailleurs.
Lorsque le Front National parle de l'UMPS, c'est pour ces raisons mais surtout pour les mêmes méthodes de gouvernance, de vision pour la France dans l'Europe dont les deux partis voteront pur la pacte budgétaire européen soumis au vote des députés mais pas à celui des véritables intéressés : les Français.
La France est classée 29ème au rang des "démocraties imparfaites" et 25ème pour la corruption.
Le monopole de ces deux géants UMP et PS en est une des raisons : ils aspirent les petits partis inféodés -bénéficiant de leur manne financière pour survivre- et dont ils peuvent s'assurer des voix à l'Assemblée nationale mais qu'ils ont réduits au silence, rendant invisible leur véritable ligne politique.
La vie politique s'est crispée, interdisant des débats nécessaire à la France à cause des monopoles de ces géants.
UMP ? Quelles UMPS ?
L'Union pour un mouvement populaire (UMP) était un parti politique français dit de droite (?) , nommé à sa création Union pour la majorité présidentielle en vue de soutenir la candidature du président Jacques Chirac à sa propre succession en 2002. Il est membre du Parti populaire européen, ainsi que de l'Union démocratique internationale, association des partis de centre-droità l'échelle mondiale.
Regroupant le RPRet Démocratie libérale, l'UMP est rejoint à sa création par deux tiers des députés de l'Union pour la démocratie française (UDF). Ce parti cherche donc à être un rassemblement de tendances gaullistes(NDLR : quel gaullisme ?!), centristes, libéraleset conservatrices.
Depuis la défaite en demi-teinte de Nicolas Sarkozy, les dirigeants de l'UMP essaient de comprendre ce qui cloche dans leur parti.
Ils ont d'abord fait rejaillir la faute sur les électeurs du Front National qu'ils exècrent mais dont ils veulent bien les voix mais pas les gueules. Les leaders frontistes de leur faire remarquer qu'ils feraient mieux de regarder du côté de l'aile gauche de l'UMP qui a bien enfoncé le candidat Sarkozy.
Flagrant délit de mensonge
La porte-parole, Nathalie Kosciusko-Morizet, pendant la campagne, a médusé beaucoup de Français en avouant sans vergogne, après les législatives, avoir relayé des idées de Nicolas Sarkozy avec lesquelles elle n'était absolument pas d'accord...
D'autres comme Jean-Pierre Raffarin, Roselyne Bachelot, la ministre du gaspillage des vaccins contre la grippe H1N1, venaient eux aussi dire tout le mal qu'ils pensaient de l'ancien président malgré un cirage de pompes assidu pendant cinq ans.
La liste des personnalités politiques s'adonnant à ce genre d'exploits peu glorieux n'est pas exhaustive au vu des déclarations intempestives des uns et des autres.
"La guerre des chefs" existe bel et bien mais n'en serait pas une selon la version officielle.
Beaucoup se verraient bien à la tête de l'UMP et pour une direction collective, pour certains, les valeurs - s'il y en a- des uns n'étant pas les mêmes que celles des autres. mais pourquoi faire ou dire ?
Le « collectif de la droite populaire », souvent montré du doigt par "ses amis" UMP, a été créé en 2010 en préparation de l'élection présidentielle dans l'optique de faire barrage au Front National, le gêneur ; pour être plus clair, dans le but de siphonner ses voix et rafler, au passage, des adhésions.
Cependant, la droite populaire doit représenter 10 % du parti -et encore en calculant "large"- ce qui veut dire que 90 % de l'UMP a des valeurs de gauche et le même langage -les mêmes insultes- hérités des années Mitterrand mais aussi à force de proximité avec la gauche -donneuse de leçons alors qu'elle devrait balayer devant sa porte, lire Rose Mafia- qui avait voté pour Jacques Chirac, élu grassement à plus de 80 %, élection digne d'un dictateur.
Paradoxalement, le Front National n'avait pas été interdit devant cette mobilisation générale. Pourquoi ? Afin de démontrer que la pseudo droite de Chirac était le nec plus ultra.
Sans élément de comparaison à ces supposés infâmes, l'UMP n'aurait jamais vu le jour...
Fort heureusement, les Français ont compris qu'on les baladait depuis des années, qu'une immigration non maîtrisée menaçait leurs emplois et leur culture, que la perte de souveraineté, validée par l'UMP et le PS, décidée par des technocrates européistes non élus, ne leur permettait plus d'arrêter les délocalisations vers des états européens à la main d'oeuvre moins chère.
Ne pas vouloir de la zone euro n'est pas un repli sur soi comme les médias et politiques l'ont répété à l'envi, lavant le cerveau de quelques uns acceptant la sainte parole des dirigeants.
Le commerce intelligent et les bonnes relations avec les autres pays peuvent exister sans faire partie d'une Europe coûtant plus cher aux français qu'elle ne rapporte.
La prise de conscience s'est faite lentement jusqu'à ce que les électeurs claquent la porte de l'UMP, aussi insultante et antidémocratique que son jumeau, le Parti Socialiste, et décident de mener le combat pour la France bradée par les politiques qui ont décidé de l'abandonner sans livrer bataille, plus soucieux de garder leurs sièges dorés que du sort des Français.
L'UMP et le PS voulant garder leur monopole, avec l'aide de l'extrême-gauche, ont décidé de mettre, une nouvelle fois, au ban de la société, des millions d'électeurs qui ont mal voté, selon eux, ignares qu'ils seraient et qui devraient "entrer" dans le giron républicain, dans le but de gagner plus d'adhérents rapportant un plus d'argent dans leurs caisses...
Quel tribunal, quels juges ont-ils décidé qui devait ou pas être en dehors de la République si ce n'est les mêmes ?
Lorsqu'elles voient toutes les magouilles pour garder le monopole, les personnes sensées préfèrent rester en dehors de ces faux démocrates, allant à la soupe et se gavant sur le dos des Français sachant que leur tour d'être enfin entendus est proche.
Après des années de débats interdits, censure et mensonges et accessoirement insultes, la France va, cette fois entrer dans l'austérité, pour ne pas tomber en récession, s'il elle y échappe...
Parfois, la colère monte devant l''irresponsabilité de tous ces dirigeants devant ce gâchis mais l'heure n'est pas à la confrontation, la situation est trop grave.
La colère monte aussi lorsque des sympathisants ou militants UMP « malmènent » les Front National-RBM, récitant des chapelets d'insultes ou de clichés que leurs dirigeants leur ont appris.
La haine a été entretenue par les mêmes pendant des années contre des millions de personnes se conformant aux lois, des patriotes, des invisibles, ceux-là mêmes qui ont décidé de hisser fièrement l'étendard tricolore, sans plus aucune honte, le fait étant devenu « raciste » pour certains donneurs de leçons.
La France a été abandonnée à des hordes de barbares qui intentent un procès dès lors que le drapeau est brandi en guise de protestation.
En dix ans, le socle des symboles français a doucement glissé vers une idéologie de gauche sans que personne n'y prenne garde, à part le Front National.
L'UMP aura beau faire son examen de conscience, une décennie ne suffira pas à balayer des éléments de langage imprégnés depuis si longtemps dans les mémoires...
Quant à la gauche, elle est devenue l'extrême-gauche par ses valeurs utopistes, désormais inadaptées à la société française et, ce, malgré des discours ne flattant que la fausse droite UMP.
La vie politique se recompose, se rééquilibre.
Le Front National est bien la droite avec ses vraies valeurs : l'ordre, l'honneur, la patrie, l'intégrité, l'instruction, l'éducation, la famille, le respect, la véritable laïcité et non celle des concessions privilégiant une religion émergente, voyante et bruyante.
Et il serait facile de citer d'autres valeurs...
En revanche, l'UMP, en recherche désespérée de repères communs à toute la « famille » n'a pas encore compris qu'elle a remplacé le Centre de Valéry Giscard d'Estaing, l'UDF.
Le Parti Socialiste, quant à lui, s'est décalé plus à gauche sous couvert de mots séduisants pour plaire à son amie UMP et ignorant les électeurs du Front National.
Des élections ont lieu en 2014, gageons que les Française hisseront le drapeau tricolore du Front National afin que cessent ces monopoles asphyxiant les autres partis, la politique française et la démocratie.
Que les Français n'hésitent plus à montrer leur reconnaissance et leur loyauté envers leur pays afin de le remettre sur pied pour leur devenir, la situation est trop grave pour ne pas se mobiliser.
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