Communiqué de Louis Aliot, vice-président du Front National
Le plan de réduction d’effectifs du
constructeur français, qui s’ajoute aux autres plans qui frappent
d’autres secteurs d’activités, démontre s’il en était encore besoin les
méfaits de la libéralisation des marchés européens ainsi que les graves
conséquences occasionnées par l’ouverture des marchés publics à la
concurrence.
Comme Marine Le Pen l’avait proposé
pendant la campagne électorale présidentielle, le Front National demande
à ce que les marchés publics de l’État et des collectivités
territoriales soient réservés en priorité et exclusivement aux
entreprises nationales.
Les Français ne comprennent pas
pourquoi, dans une situation de crise grave, de chômage chronique et de
plans de licenciements à répétition, les administrations françaises
continuent à ouvrir leurs carnets de commandes à la concurrence
étrangère au détriment de l’emploi français. nationpresse.info