Scènes de violences "ordinaires" que les Français ne supportent plus.
Ne cherchez pas, vous ne trouverez pas l'information dans un journal français -pour le moment ?-, notre gouvernement ayant décidé de mettre un couvercle sur la marmite des tensions dans le pays et afin de ne pas "stigmatiser" nos "victimes" belliqueuses. La décision de dissimuler ces scories finira inévitablement par faire exploser la marmite. Critiquer les forces de l'ordre étant devenu leur sport national favori, il faudra beaucoup de temps avant que les responsables politiques angéliques et laxistes assimilent l'ampleur des problèmes en France.
Les violences ne doivent, en aucun cas, être banalisées, comme une sorte de fatalité qui pourrait être considérée comme un renoncement... et une nouvelle victoire pour ces bandes.
Il est certain qu'avec le Front National au pouvoir, ces violences ne seraient plus que des exceptions. Ce que n'ont pas compris les politiques et les médias qui ont tout fait pour "'éradiquer" le parti de Marine Le Pen, reprenant une expression de Jean-Luc Mélenchon. Maintenant, certains reconnaissent leurs erreurs tactiques et beaucoup de Français comprennent que le Front National-Rassemblement Bleu Marine, dénonçant le laxisme des gouvernements successifs, est plus que nécessaire à la France.
"Les forces les anti-émeutes ont été obligées d'intervenir sur l’esplanade du Trocadero, à Paris, après le match Espagne – France de l'Erou 2012, mettre fin aux violences provoquées par des bandes de jeunes (quelques centaines, selon le journal espagnol).
À la fin du match, retransmis en direct, sur écrans géants, à quelques points stratégiques de Paris, beaucoup de groupes de jeunes ont commencé à jeter des pétards et à lancer des pierres contre les édifices officiels près du Trocadero, où les brigades anti-émeute avaient mobilisé une centaine de cars.
Les bandes de jeunes ont pris le prétexte du résultat du match bien décidés à affronter les forces de l'ordre : courses, échanges de coups, jets de bouteilles et canettes de bière vides
Les forces de l’ordre ont dispersé les agitateurs en quelques charges musclées, aidés de leurs matraques et en utilisant des gaz lacrymogènes, pour aboutir à de nombreuses arrestations.
En trente minutes, les forces de l'ordre ont réussi à ramener la paix.
Selon le journal ABC, "A l’évidence, les troubles n'avaient rien de réactions « sportives ». Il s’agissait bel et bien d’affrontements classiques entre bandes issues de la banlieue, qui montent sur Paris au moindre prétexte."
ABC
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