Le ministre chargé des relations avec le parlement, Alain Vidalies, vient de sortir du champ républicain en refusant à Marine Le Pen la possibilité d’être reçue par le président de la République dans le cadre des consultations de chefs de partis.
Après le refus de François Hollande de recevoir Marine Le Pen il y a quelques semaines, cette nouvelle déclaration est une véritable provocation : elle prouve la haine du nouveau pouvoir socialiste envers la démocratie. Elle est de surcroît contradictoire avec l’argument avancé à l’époque pour justifier l’exclusion du Front National des consultations présidentielle, à savoir l’absence de notre parti du Parlement.
La prise de position du ministre est antirépublicaine parce qu’elle exclut de la démocratie des millions d’électeurs. De quelle autorité morale ce ministre se croit-il le dépositaire pour décider d’interdire la consultation des 6,4 millions de Français qui ont fait le choix de Marine Le Pen ?
La prise de position du ministre est antirépublicaine parce qu’elle exclut de la démocratie des millions d’électeurs. De quelle autorité morale ce ministre se croit-il le dépositaire pour décider d’interdire la consultation des 6,4 millions de Français qui ont fait le choix de Marine Le Pen ?
Cette prise de position démontre qu’une petite caste au pouvoir s’arroge le droit de faire le tri entre les votes des Français selon ses propres critères. Lire la suite
NDLR : Démocratie à la Française gauchiste...
Il est plus que probable que ces Français "pestiférés" (6.5 millions) non reçus par le biais de leur porte-parole Marine Le Pen, par le Président de la République censé représenter tous les Français (même pestiférés), sauront s'en souvenir...