Si le même mauvais procès que celui fait à Louis Aliot lors de l'émission "On n'est pas couché" intéresse quelqu'un, voir par ICI l'acharnement contre Marine Le Pen.
Cette dernière est obligée de se justifier des propos victimaires tenus par un autre politique, Jean-François Copé : "Marine Le Pen travaille travaille à notre perte" (ndlr : l'UMP).
Elle est aussi sommée de répondre au sujet du tract qui n'indispose pas que Jean-Luc Mélenchon.
Tract écrit en mauvais arabe selon le présentateur Ali Baddou... "Désolée, je n'ai pas fait de licence d'arabe" plaide l'accusée.
Attention, l'avertit-on des poursuites éventuelles. La coupable, avocate, fait remarquer qu'elle est dans la loi. Lire CECI
Puis, elle est enjointe de se justifier du tatouage nazi-erreur de jeunesse, sur le dos (que celui qui n'a pas de tatouage dont il n'a pas honte lui jette la première pierre) d'un de ses candidats qu'elle a omis de déshabiller avant de l'intégrer dans ses équipes...
La présomption d'innocence n'étant réservée qu'à des privilégiés, les questions fusent dans tous les sens auxquelles l'accusée tente de répondre en même temps, lynchage en place publique habituel sur cette chaîne très très à gauche..., ce qui ne lui a pas porté bonheur puisque le Grand Journal a perdu non pas 1.5 mais 1.2 million de téléspectateurs en un an pour être précis...
La coupable de leur rappeler cette déculottée télévisuelle, déçue de n'avoir pu parler du sort des Français, hautement plus intéressant que les jérémiades et accusations sans fondement.
Marine Le Pen booste les audiences de la plupart des médias et elle a su moucher ces ingrats à la grande satisfaction de ses militants, sympathisants et électeurs, le parti pris pendant les primaires et l'élection présidentielle n'étant que peu apprécié des téléspectateurs-électeurs.
