Ou un début de réponse sur un pays qui se délite, l'union nationale n'est pas pour demain et le changement ne sera pas maintenant puisque cette extrême-gauche est prête à voter Hollande.
Certains militants refusent d'entonner l'hymne national. Pas Jean-Luc Mélenchon, ni les communistes.

«La Marseillaise, c'est pas ma tradition. C'est un chant
révolutionnaire mais il a été l'emblème des guerres coloniales. Je
préfère L'Internationale.» Danièle Obono, figure de la campagne du
candidat du Front de gauche, reste silencieuse lorsque la salle entonne
l'hymne national à la fin des meeting de Jean-Luc Mélenchon, qui était
mardi soir à Rouen. Danièle Obono n'est pas un cas isolé. A lire sur
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