
Malgré les 17 morts des attentats en
janvier dernier et des jihadistes dont la France est un des plus
grands viviers, chaque jour, nous est imposé ce concept chimérique
qu'est le vivre ensemble par des politiques bien à l'abri des
nuisances du quotidien des Français.
Le « pas d'amalgame »
demande à tous de faire la différence entre islam et secte -alors
que personne n'est dupe (Secte : Définition Larousse : Groupement religieux, clos sur lui-même et créé en opposition à des idées et à des pratiques religieuses dominantes)- répété à l'envi jusqu'au lavage de
cerveau pour nous faire oublier le carnage de janvier.
Maintenant, les « victimes »
sont les musulmans de cette « religion de paix et d'amour »
en France et ailleurs. Au lieu d'inviter le plus radicaux à quitter
le pays, les politiques décident de mâter les « islamophobes »
en distillant plus de « mixité sociale ».
Ces réfractaires de la « mixité
sociale » sont qualifiés de xénophobes, racistes et
islamophobes ou de la suprême insulte : « fachos » à
l'attention des héritiers de la France traditionnelle, ces
« Français de souche, comme on dit » ou ceux de
l'ancienne immigration qui s'est fondue dans la société sans bruit
ni revendication, ayant pris tous les codes de la civilisation
française, et surtout reconnaissante jusqu'à la défendre bec et
ongles.
Les politiques leur imposent de payer
leurs erreurs de gestion humaine, plutôt inhumaine, de l'immigration avec l'idée non
avouée de remplacer ce vieux peuple qui ne veut pas aller plus loin dans leur
folie.
Les chiffres de l'immigration ont,
maintes fois, fait l'objet de polémiques, « le Front National
ne faisant sont lit que dans les peurs » selon les "mieux-pensants". Cependant, la réalité donne raison au parti frontiste. Lire : Entrées clandestines en Europe: + 180 % Le rapport ne fait pas état de son impact en France, eldorado des
aides sociales...
Malheureusement pour les politiques,
l'immigration commence sérieusement à se voir : délinquance en hausse,
attentats, jihadisme, voiles, barbes, djellabas, halal (il suffit
même d'aller au marché de la « ville » pour
comprendre), pas un jour, non plus, sans une revendication musulmane ;
le gentil et respectueux « autochtone » doit se taire
sous peine de se voir affubler des pires qualificatifs jusqu'au
symbolique « antirépublicain »... Définition de
« antirépublicain » : celui qui ne pense pas comme nous
(la gauche) et ne fait pas ce qu'on lui dit...; des « réacs »
en somme...
Peu importe, disent-ils : « vous
ne voulez pas d'eux, ils iront à vous, même dans vos campagnes,
vous apprendrez à les aimer et vous vous plierez à leur mode de
vie » (et non l'inverse).
Ces nouveaux arrivants doivent être
tous des enfants sacrés de Mahomet alors que le Français
« traditionnel » doit renier jusqu'à son identité
chrétienne, son essence millénaire, athée ou non ; il n'est plus
rien, il doit se plier aux injonctions du vivre ensemble, pardonner
quand « on nique la France » ou s'essuie les pieds sur
ses valeurs et accepter ces incompris. Mais qui comprend les Français
traditionnels qui ont participé à la grandeur de la France ?
Ces pseudo élites, protégées dans
leurs tours d'ivoire, ne s'inquiètent pas de la violence qu'ils
infligent à ces « fachos » pris en otage par les flots
d'immigration, forcés
d'adopter la posture de la victime du syndrome de Stockholm au risque
de se faire insulter dans le meilleur des cas.
Pour
une meilleure emprise sur la « populace », les « élites »
ont forgé une société de victimes, celle de la société
« inégalitaire », « gétthoïsante »,
« islamophobe », oubliant les vraies victimes pleurant
dans l'ombre...
« Ghettoïsation »,
« apartheid », ces mots forts lancés par Manuel Valls
essaient de culpabiliser davantage les Français qui ont reculé dans
les campagnes au fil du temps afin de laisser la place à des
nouveaux arrivants qu'ils n'ont même pas choisis. Si on ne choisit pas sa famille, a-t-on
le droit de choisir ses amis, ses voisins dans ce pays ? Surtout
lorsque ces derniers n'ont rien en commun avec eux.
A l'injonction de vivre ensemble
stupide, réponse digne de leurs précurseurs :
La France ne mourra pas bien que l'on
veuille « dissoudre » ses héritiers dans un magma de
cultures digne des films de science fiction où les Terriens sont
tous identiques (dont on pourrait discuter du degré d'évolution...).
Pour l'heure et jusqu'à preuve du
contraire, aucun extra-terrestre ne menace d'envahir la terre. Le
moment venu, toutes les tribus du monde se ligueront contre
l'envahisseur.
Mais, en attendant E.T., la tribu
française préserve et transmet ses trésors, son patrimoine
culturel et cultuel, sa langue et ses traditions et celui ou celle
qui n'approuve pas est libre de partir dans des pays plus adaptés et
plus conformes à leur personnalité...
Quant aux politiques, qu'ils se débrouillent avec leur immigration massive, ils ont mis les Français en danger, ils sont allés trop loin. Il y a eu trop de morts, trop de laxisme, trop de lâcheté et la seule arme pour se défendre de ces intrusions violentes dans leur intégrité physique et identitaire : le bulletin de vote...
07/03/2015