Empruntée et visiblement mal à l'aise à son arrivée sur le tatami, la tête couverte d'une sorte de bonnet de bain, la judoka Wodjan Ali Seraj Abdulrahim Shaherkani, 16 ans, a passé seulement 82 secondes en compétition, avant d'être balayée par son adversaire, la Portoricaine Melissa Mojica.
NDLR : son adversaire, la Portoricaine Melissa Mojica oublie les règles ancestrales du Judo ; peut-être lui a-t-on "souffler" son discours paraissant avoir été appris par coeur, d'autres sportives s'étant montrées plus soucieuses des règles.
A noter : les deux ont perdu, comme quoi suivre les règles en sport est un facteur gagnant...
Nous avons bien là un cocktail de politique, religion et sport, un mélange qui devrait faire perdre de leur saveur aux Jeux olympiques, et à terme, susciter le rejet...
Pourquoi n'arrive-t-on pas à se réjouir que ces musulmanes soient "autorisées" à faire du sport ? Parce que ce sont les hommes qui décident de faire une belle propagande de l'islam en se servant des femmes, sachant que leurs libertés sont très chères à nos sociétés.
Les Jeux Olympiques sont regardés par près d'un milliard de téléspectateurs, aussi dans des pays musulmans, le message qui est envoyé est le suivant : "Nous avons fait plier les Occidentaux et imposé notre religion même dans des secteurs "interdits". Beaucoup doivent jubiler...
En plein Ramadan, quelle joie pour eux, cette victoire arrachée à ces sales Occidentaux et tellement naïfs !
Pas tous, heureusement...
Relayé par Vos Tribunes à la Une
