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31 août 2012

Imprimer/Print Friendly and PDF Le mois d’août touche à sa fin et aura connu le premier marqueur de référence dans un mandat présidentiel, celui des 100 jours. En 3 mois, le tandem Hollande-Ayrault rivalise déjà avec Sarkozy en terme de défiance de la part des Français. Une côte de popularité désastreuse au bout de seulement 3 mois d’exercice, un gouvernement au sein duquel on se tire déjà dans les pattes. Il faut dire que les socialistes prennent un malin plaisir à tout faire en dépit du bon sens, de l’efficacité et de la morale politique.
Quel bilan à J+100 ?
Une incurie totale dans les premiers dossiers chauds en matière économique, on pense notamment à la catastrophe PSA survenue à la mi-juillet et au cours de laquelle le gouvernement a fait preuve d’une faiblesse consternante : 7000 emplois menacés au bas mot, sans que l’Etat ne montre une réelle volonté d’y remédier. Pendant ce temps surgissait l’affaire du STIF, géré par le Conseil Régional d’Ile de France, à l’occasion de laquelle on apprenait que cette société risquait de supprimer des emplois sur notre territoire pour s’implanter au Maghreb !
Un laxisme navrant également en matière de sécurité et d’immigration, comme en témoigne la stratégie de communication de Manuel Valls sur sa gestion de la problématique Rom : en parallèle à des démantèlements-alibis face caméra, on nous annonce par ailleurs plus discrètement une levée des mesures de restriction du travail pour cette population.
Rassurez-vous, rien ne changera à la rentrée !
La crise du prix de l’essence en est l’exemple parfait : alors que nous sommes tous au bord de la syncope quand nous passons à la pompe, le gouvernement s’est refusé à adopter les mesures préconisées par le Front National et qui pourraient alléger de manière durable la charge que représente le carburant sur notre pouvoir d’achat.
Enfin, nous devrons être mobilisés sur la question capitale du Traité budgétaire européen qui condamne le peuple français à encore plus d’austérité et que le gouvernement entend faire ratifier par la voie parlementaire.
La rentrée sera dure, vous l’avez compris. Mais sachez que nous ferons tout pour porter votre voix partout où nous le pourrons, avec Marine Le Pen, avec les députés du Front National, avec nos élus et responsables locaux, et avec tous les militants de notre mouvement !
Si vous aussi, vous ne voulez pas que cette rentrée laisse le champ libre aux socialistes de causer notre perte et celle de la nation française, rejoignez-nous !




Steeve Briois
Secrétaire Général du Front National
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