

Louis Aliot réagit au énième sommet européen de la dernière chance et ses conséquences : « Le pire, ce serait une marche forcée vers le fédéralisme et la perte de notre souveraineté qui serait contraire à l’ensemble de nos valeurs, de notre liberté de peuple ! (...)
On nous a mentis (...)
On ne peut pas aller aussi loin sans le consultation des Français (référendum) »