Sur ITélé, le co-président du Parti de gauche a participé à l'hommage à Brahim Bouarram, le jeune Marocain jeté à la Seine le 1er mai 1995 par des manifestants du FN. Il en a profité pour déplorer la propagation des thèses du Front National et leur récupération, selon lui, par Nicolas Sarkozy.
Jean-Luc Mélenchon et la gauche, qui n'ont cessé de déverser des torrents de haine et de violences physiques et verbales pendant cette campagne, continuent sur la même ligne en profitant encore du premier mai, fête du travail, pour récupérer politiquement le meurtre d'un mort d'un homme par un skinhead qui ne représente encore moins Marine Le Pen, Nicolas Sarkozy ou leurs électeurs.
C'est une offense qui est faite constamment à un parti ou à des électeurs Marinitses qui ne se reconnaissent en aucun cas dans ce genre d'acte en les condamnant fermement.
Il est fait, vingt-sept ans après, un nouveau procès non pas à l'auteur mais à Marine Le Pen et ses électeurs.
Ce procédé n'est pas digne d'élus qui devraient être représentés dans le gouvernement si François Hollande était élu.
La gauche n'est pas la seule à avoir du coeur et n'est pas seule à pleurer la victime après tout ce temps, la droite et les Marinistes le font aussi mais avec dignité, notion à découvrir par la gauche...
Selon nos informations, des personnes issues des syndicats, de gauche et du Front de Gauche ont caillassé un bus FN non loin de la place de l'Opéra, où se tenait le rassemblement de Marine Le Pen.
D'ailleurs n'était-ce pas "La première secrétaire du Parti socialiste Martine Aubry qui avait déclaré récemment : que le président-candidat Nicolas Sarkozy avait fait de la "provocation" à propos du 1er Mai, et que si des "violences" devaient en résulter, il en serait "responsable".
D'aucuns n'ont pas jugé nécessaires de relever ces propos irresponsables.
En France, la raison et l'apaisement, qui devraient être les mots d'ordre, ne sont pas les messages envoyés par la gauche et l'utilisation d'un meurtre à des fins électoralistes démontre que des élites s'accordent le droit de jeter de l'huile sur le feu, en toute impunité.
Quand Jean-Luc Mélenchon et la gauche exploitent encore la mort de Brahim Bouarram
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